contrat d’une valeur de 6 millions et 100 mille euros

VENISE – Un contrat d’une valeur de six millions et 100 mille euros pour équiper les salles d’opérations dans les tunnels du Moïse de câblage à fibre optique.

Le contrat identifiant : a été signé ces derniers jours par tous les interlocuteurs impliqués Fibre ouverte l’entité qui sera responsable de la création de l’infrastructure de télécommunications, suite à l’annonce faite par la commissaire Elisabetta Spitz en novembre de l’année dernière, en marge d’un comité technico-administratif.
L’entreprise italienne opère sur le marché des infrastructures de réseau FTTH pour la pose de câbles à fibre optique et est déjà active dans la lagune de Venise. Il aura désormais 18 mois pour terminer l’opération à partir de maintenant. Ainsi, d’ici 2026, les tunnels souterrains devraient enfin être câblés, reliés entre eux et à la salle de contrôle de l’Arsenal.

Ce type de câblage sera une mise en œuvre (plus précisément une “redondance”) par rapport aux communications actuellement garanties par le système Telespazio, qui a repris, avec un contrat de 24 mois signé en septembre dernier, l’activité de l’Armée qui depuis le premier des levages, en 2020, avaient rendu disponible la liaison radio, un instrument déjà utilisé en temps de guerre. Le système de télécommunications MOSE – qui est considéré comme un ouvrage stratégique au niveau national et sera donc soumis à des procédures rigoureuses de cybersécurité – est une pièce fondamentale car il permet les connexions et la synchronisation des systèmes d’automatisation des barrières.

Mais le processus de passation des marchés a été particulièrement semé d’embûches, entre appels d’offres abandonnés et négociations privées au cours desquelles les conditions de l’offre et de la demande ont été progressivement modifiées. Aussi parce que les technologies varient à une vitesse incroyable et que de temps en temps l’objet du contrat a dû être mis à jour et modifié.

LES Écluses DE NAVIGATION

Hier était un jour important pour Chioggia, où a été installée la deuxième porte de la deuxième écluse de navigation.

Des écluses qui serviront au transit des bateaux même lorsque les portes Mose seront levées en cas de mauvais temps, mais qui ne sont pas encore prêtes pour l’instant. Des outils qui se font attendre depuis longtemps, compte tenu des problèmes rencontrés notamment par les pêcheurs en hiver. Il était arrivé, en effet, que dans des conditions de hautes eaux, la flotte de Chioggia restait bloquée “à l’extérieur” en mer, sans pouvoir revenir par l’embouchure du port de Chioggia, avec l’alternative de revenir en contournant le bassin de Malamocco. ou attendre que l’eau descende et donc la descente des barrières mobiles à Chioggia.

Alors que des tests « à blanc » sont actuellement en cours pour la première écluse, c’est-à-dire les tests techniques pour évaluer l’exactitude des systèmes d’ouverture et de fermeture (mais sans passage des navires, pour l’instant), la seconde en est encore à ses balbutiements. En effet, il faudra y monter les systèmes qui permettront son contrôle et son déplacement, et en principe il devrait être prêt pour l’automne, pour commencer ici aussi les tests à blanc et convenir ensuite des procédures avec l’Autorité Portuaire.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Le Gazzettino

PREV Vittoria Boni au conseil municipal
NEXT Francesca Giannone invitée de la première soirée de Lungomare pour lire à Marina di Massa