Terni, CGIL et Fiom haussent leur honneur face aux attaques d’Aniello

Terni, CGIL et Fiom haussent leur honneur face aux attaques d’Aniello
Terni, CGIL et Fiom haussent leur honneur face aux attaques d’Aniello

“Nous considérons comme sérieuses et infondées les déclarations de ceux qui, démissionnant du conseil municipal, parlent de ‘certains syndicats’ informés par les travailleurs de l’illégalité et qui cependant ne veulent pas voir et intervenir.” Ainsi CGIL et FIOM de Terni en référence aux déclarations de l’ancien conseiller Mascia Aniello concernant l’activité de l’aciérie.

Aniello Le syndicat revendique plutôt un engagement constant dans toute la province de Terni, pour construire de bons emplois et un développement durable sur le plan environnemental, social et économique. « Concrètement – ​​soulignent-ils depuis San Procolo – à Ast, au fil du temps, des accords ont été conclus qui lient la santé et la sécurité des travailleurs aux conditions de vie des citoyens qui vivent autour de l’usine. Les accords conclus n’ont jamais échangé les salaires contre la santé et la sécurité, il suffit de regarder l’histoire de nos plateformes qui sont toujours parties d’investissements dans l’environnement et la sécurité, réalisant au fil des années l’isolation des systèmes, mais aussi les hottes individuelles, le vide nettoyants, filtres et EPI qui sont considérés comme acquis aujourd’hui.

Fiom et CGIL «Nous avons déjà fait une ‘scolarisation’ – affirment la Fiom et la CGIL – avec le Mesop, le service de médecine sociale et préventive, au début des années 70. A moins de vouloir prendre en considération des propositions lunaires comme le déplacement du site Viale Brin ailleurs – ce qui représente 1/3 du projet de la ville – il faut nécessairement être, aujourd’hui
plus que jamais, participer activement au renforcement de ce pacte non écrit entre l’environnement et le travail dans ce domaine, également compte tenu des transitions technologiques et écologiques que nous traversons.
De ce point de vue, nous considérons la réunion que le maire de Terni a demandé aux syndicats d’être autoréférentielle. Le Maire et son conseil ne sont pas un organisme d’enquête, mais doivent représenter les besoins des citoyens, également à travers l’implication des représentants sociaux pour apporter les réponses nécessaires.

Protocole de sécurité Nous vous rappelons que parmi les accords précieux, que l’ensemble du syndicat a fortement soutenu, il y a depuis 2008 le « Protocole de santé, environnement et sécurité de l’Ast » qui, outre l’entreprise et les organisations syndicales et confédérales, a été signé par le Préfet, la Région de l’Ombrie, la Province de Terni, la Commune de Terni, les Pompiers, l’Inspection Territoriale du Travail, l’USL Umbria2, l’Inail et l’Arpa. Tous les organismes qui surveillent et sanctionnent les illégalités en matière d’environnement, de santé et de sécurité. En détail, Arpa surveille en permanence l’état de l’eau, du sol et de l’air grâce à des unités de contrôle en relation avec la production d’Acciai Speciali Terni. Quelqu’un a-t-il d’autres données ? Nous demandons à ceux qui parlent d’illégalité de préciser ce qu’ils veulent dire et à qui ils font référence lorsqu’ils désignent « des syndicats informés ». Autrement, nous serions obligés d’engager des poursuites judiciaires pour défendre le bon travail et l’honorabilité de la confédération et de la catégorie dans l’intérêt des travailleurs que nous représentons. »

Aciérie de Terni «Curieux – commentent alors les syndicalistes – que la réunion du 17 juin 2024 soit la première après celles annulées en raison de la démission du maire et des célébrations de la Journée internationale de la femme. En tant que CGIL et Fiom, nous avons répondu au maire, lorsqu’on nous l’a demandé spécifiquement, que si nous avions des nouvelles d’un délit, nous en informerions immédiatement les organismes compétents. Peut-être l’illégalité est-elle confondue avec des problèmes critiques, qui existent évidemment, sont importants et que nous n’avons jamais ignorés à l’intérieur et à l’extérieur du site. Bien sûr, il reste encore beaucoup à faire en matière de poussière, de chaleur, de bruit et d’organisation du travail, mais ce sont les sujets quotidiens que les délégués de la Fiom et de RLS discutent, en contact étroit avec le délégué syndical à la sécurité de l’ensemble du site, arrêtant également le plantes lorsque cela devenait nécessaire. Au lieu de polémiques partisanes stériles, il convient de s’efforcer de mettre fin à cette inquiétante phase de blocage de l’accord de programme afin de pouvoir ancrer le projet industriel qui prévoit environ 85 000 000 d’euros d’investissements liés à l’environnement, ainsi que de viser à une décarbonation décisive.

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