Donnarumma stratosphérique, Scamacca impalpable. Civière en cage

Donnarumma stratosphérique, Scamacca impalpable. Civière en cage
Donnarumma stratosphérique, Scamacca impalpable. Civière en cage

Le défi Italie-L’Espagne aux Championnats d’Europe se termine par la victoire des Furies Rouges (1-0). Un but contre son camp de Calafiori a été décisif. Les Azzurri de Spalletti n’ont presque jamais été dangereux et ont été sauvés à plusieurs reprises par Donnarumma.

BILAN DE L’ITALIE

DONNARUMMA 7.5
Incroyable. Protagoniste d’au moins trois interventions de Superman. La sauvegarde du missile sol-air de Fabian Ruiz était impressionnante. Phénomène.

DI LORENZO 4.5
Nico Williams le rend fou. Il le saute avec une facilité négligeable, le forçant souvent à commettre une faute. Dans une confusion totale.

BÂTONS 5.5
À plusieurs reprises, il s’est retrouvé au bon endroit au bon moment. Toujours sous pression. En difficulté quand il doit se fixer.

CALAFIORES 5
Les Espagnols l’attaquent de toutes parts. Il fait tout ce qu’il peut pour ne pas s’effondrer. En fin de compte, le but contre son camp arrive.

DIMARCO 5
En défense, il a eu énormément de mal à tenir Yamal à distance. En attaque, il gaspille gravement les rares occasions où il peut placer des ballons dangereux dans la surface adverse.

JORGINHO 5.5
En défense, il essaie d’aider par tous les moyens. Il n’arrive jamais à penser correctement, notamment parce qu’il est toujours sous pression. Rythme trop lent (1ère minute Cristante 5.5: entre et devient immédiatement jaune. Fatigue).

CIVIÈRE 5.5
Attaqué et doublé, il devient confus. Il s’en prend également à ses coéquipiers mais, cette fois, il ne parvient pas à montrer ses qualités. En cage.

ÉGLISE 5
Jamais une pièce digne de ce nom. Bien masqué, il peine à recevoir le ballon et se rend dangereux. Dans le temps additionnel de la première mi-temps, il tire très haut (19′ rue Zaccagni 5: essais, sans résultats).

PÈLERINS 5
Peu précis dans ses appuis et prévisible dans ses jeux. C’est toujours anticipé, ça reste dans un juste milieu où ça ne sert jamais (37′ rue Raspadori sv).

FRATTÉSI 5
Chaque fois qu’il tente ses insertions proverbiales, il se heurte au mur espagnol. Il n’a pas un seul bon ballon pour tenter de se rendre dangereux (1′ ère Cambiaso 5: cela n’a aucun impact, au contraire cela risque de provoquer des catastrophes).

SCAMACCA 5
Il ne gagne jamais un plaquage. Les rares fois où il touche le ballon, les choix sont erronés et faciles à lire. Il ne tire jamais vers le but adverse (19′ rue Retegui 5: se perd parmi les défenseurs espagnols).

TOUS. ÉPAULES 5

Il voulait une Italie courageuse, il devait assister à un monologue des Furies Rouges. Même les changements n’apportent rien de bon. Un retour en arrière inquiétant.

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