Fraude et blanchiment d’argent, le gang qui a escroqué Livourne vaincu

Fraude et blanchiment d’argent, le gang qui a escroqué Livourne vaincu
Fraude et blanchiment d’argent, le gang qui a escroqué Livourne vaincu

Un avvocato di 71 anni iscritto al foro di Padova e residente in città in carcere, un sessantenne di Abano anch’egli dietro le sbarre, due squadre di calcio toscane tra le truffate nella stagione 2020-2021: si tratta dell’Arezzo e dell’ As Livorno calcio, all’epoca dei fatti nelle mani di Heller, Aimo, Carrano, Mariani fino al liquidatore Gherlone, protagonisti in negativo di una gestione scellerata che portò di fatto al fallimento della società amaranto rinata poi con Toccafondi con il nome della vecchia Unione Sportive. Ce sont quelques-uns des points d’une vaste enquête financière avec des chiffres impressionnants rapportés PadoueAujourd’hui. Concrètement, les financiers du commandement provincial de Padoue, sous la direction du ministère public local, ont exécuté mercredi 19 juin dernier une décision du tribunal de Padoue qui a ordonné onze mesures de précaution personnelles : trois suspects ont fini en prison, dont l’avocat de Padoue, résident d’Abano Terme, un tiers de Bénévent, quatre assignés à résidence, trois avec obligation de séjour dans la commune de résidence et obligation de se présenter à la police judiciaire. L’activité a conduit à la saisie d’actifs d’une valeur de 3,5 millions d’euros auprès des membres d’un syndicat criminel qui, depuis au moins 2021, a escroqué des citoyens italiens et étrangers en se procurant des garanties jugées fausses ou en utilisant frauduleusement une institution juridique anglo-saxonne appelée escrow. accord ou dépôt en fiducie.

L’arnaque contre l’As Livorno Calcio

Le Livourne Calcio s’est donc également retrouvé dans ses filets. À tel point que pour s’inscrire au championnat Lega Pro 2020/2021, il a dû remplacer la garantie stipulée auprès d’une banque anglaise (Winter Bank, éd) pour un montant total d’environ 900 mille euros rejeté par la Ligue. Des investigations de la Police des Finances ressort le rôle de « l’association de malfaiteurs » qui aurait fraudé la société Amaranth « en se procurant des garanties jugées fausses ou en utilisant frauduleusement une institution de droit anglo-saxon appelée accord de séquestre ou dépôt en fiducie”. Parallèlement aux mesures de précaution, les flammes jaunes ont effectué des dizaines de perquisitions dans les provinces de Bénévent, Bergame, Crémone, Florence, Foggia, Milan, Padoue, Turin et Venise, avec la participation d’autres autorités territoriales. services compétents du Corps.

La dénonciation et le jeu de rôle

Les enquêtes ont commencé d’une manière pour le moins inhabituelle : à partir d’une plainte pour extorsion présentée par un homme qui s’est en réalité révélé plus tard être l’un des principaux suspects, considéré par les enquêteurs comme le “promoteur de l’hypothèse d’activité illicite”. . « L’organisation criminelle – explique la Police Financière -, après avoir identifié un public d’entrepreneurs et d’investisseurs ayant une solvabilité et des fonds dans le contexte international, ayant besoin de ressources financières supplémentaires pour démarrer des projets parfois même millionnaires, a exploité une société financière anglo-saxonne, caractérisé par une capitalisation importante due à la possession de centaines de millions de dollars d’obligations d’État belges, pour leur fournir une garantie de solvabilité à dépenser auprès des établissements de crédit primaires”. Ces institutions, en échange de garanties aussi importantes, auraient accordé des prêts très importants.

Le mécanisme était tel que les victimes étaient incitées, par l’intermédiaire d’un « recruteur » appartenant à l’organisation, à contacter un avocat, qui jouerait le rôle d’agent séquestre. Cependant, l’avocat, après avoir reçu des déposants la somme en garantie, qui dans certains cas aurait atteint plusieurs millions d’euros, l’a partagée avec ses complices en effectuant une série de virements vers des comptes courants étrangers ouverts en Estonie, en Allemagne et aux États-Unis. Royaume. L’objectif, explique la Fiamme Gialle, était celui du “recyclage et auto-blanchiment” avec des comportements “visant à empêcher l’identification de l’origine criminelle des fournitures”.

Lorsque les victimes ont compris que les garanties que la société londonienne aurait dû leur apporter tardaient à arriver, elles ont demandé des éclaircissements à l’agent séquestre. Mais l’avocat, pour ne pas rembourser les sommes retenues, feignant complètement son rôle de médiateur, a intenté une action en justice contre les autorités compétentes pour non-conformité du bénéficiaire étranger. Non seulement Livourne s’est retrouvée dans la ligne de mire de l’organisation criminelle. Arezzo et Novara ont également été fraudées au cours de la même période. Les clubs recherchaient des garanties financières pour leur inscription au championnat Lega Pro et s’étaient tournés vers des professionnels autoproclamés. Sauf qu’il fallait ensuite courir se mettre à l’abri. Grâce à l’enquête du parquet de Padoue, le gang a été vaincu.

PREV Beaucoup de votes pour rien. Tamajo reste en Sicile, Chinnici se rend au Parlement européen
NEXT TERAMO À TABLE – Abruzzes populaires