une provocation dont nous n’avons pas ressenti le besoin

Un an plus tard Nova Gorica et Gorizia réunis dans la capitale européenne de la culture, dans une période de débat continu sur l’antifascisme, la discrimination et la tolérance, voici le geste qui ravive controverses jamais endormi mais dont on se serait volontiers passé. Le protagoniste est Ivan Kocman, ancien joueur de Kras Repen, qui a bien pensé à se présenter au match entre la Slovénie et la Serbie aux Championnats d’Europe avec l’écriture “Très bien je nas” sur le drapeau slovène. Tout cela, bien sûr, accompagné d’une fière publication sur les réseaux sociaux. Ce n’est pas seulement une erreur de style, mais une provocationfranchement anachronique, ce qui semble aussi offensant aux yeux d’une grande partie de la ville.

Il y a quelques jours à peine, Goran Kocman, président du Kras Repen et père d’Ivan, dans une interview avec Tuttocampo, il a souligné combien trop souvent sur le terrain, il y a quelqu’un qui tourne le dos à quelqu’un qui parle slovène et au cours de la saison, d’autres clubs Carso s’étaient également plaints d’épisodes de racisme pur et simple à leur égard. Rien ne justifie l’intolérance et discrimination, mais de la même manière, le drapeau déployé hier à Monaco ne peut être considéré comme une simple farce. Kocman senior, dans l’entretien avec Massimo Radina, a déclaré que respect toutes les cultures ; Kocman junior ne tient évidemment pas de son père.

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