événements entre stade et place

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Tout cela après les huit concerts de Gigi D’Alessio, après Negramaro, en attendant Tropico, Nino D’Angelo, la soirée Radio Italia, Co’Sang… La ville…

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Tout cela après huit concerts, huit de Gigi D’Alessioaprès les Negramaros, en attendant Tropico, Nino D’Angelole Fête de Radio Italia, le Co’Sang… La ville de la musique est une réalité, le slogan a porté chance à la le maire Manfrediqui profite de la tendance avec le boom touristique, deux données qui se multiplient et font taire également les protestations de ceux qui habitent à proximité de la place et du stade et paient les conséquences de l’invasion de milliers de spectateurs. Qui garantissent un impact important et réaffirment la centralité de l’offre culturelle dans le moment d’or vécu, au moins sur ce front, par la ville et la région.

Ne manque plus que le retour des grandes tournées internationales, anticipé en 2023 par Jeu froidet alors on peut dire que la mission est accomplie, que la boucle est bouclée, même si on peut toujours faire mieux, tout d’abord en maintenant le calendrier des travaux du gymnase et du music-hall, qui devraient être construits dans l’entreprise centre.

Ici, c’est la pièce la plus importante qui manquait : identifiée dans le Plébiscite C’est dans le Maradona (même si ce n’est que dans les quelques semaines laissées libres par le football) les espaces adaptés aux grands spectacles en plein air, une structure intérieure est nécessaire pour le reste de l’année. On s’est rendu compte que la demande est forte et croissante de la part des artistes, que la réponse est également forte et croissante de la part du public, qui afflue vers les événements, suivi par un public même extérieur à la région.

Il se trouve que ce soir, le Festival de Musique de Naples est vraiment une fête spéciale : avec Géolierle golden boy du quartier de Gescal, le rappeur record qui a réimposé notre dialecte comme langue de la chanson nationale à Sanremo et en Italie, avec Renato Zéro qui a invité les derniers lions et lionnes du véritable XXe siècle dans sa Piedigrotta : Angela Luce, Peppe Barra, Peppino Di Capri. «Aucune autre ville ne concentre une telle concentration de génies loci, et je pense aussi au jeune Geolier, comme à mes autres invités, Lina Sastri, Enzo Gragnaniello, Sal Da Vinci», raconte l’auteur-compositeur-interprète romain qui, pour l’occasion, a même traduit « Il carrozzone » en napolitain. Pourquoi, dans la patrie de Salvatore Di Giacomo et Pino Danielece ne sont jamais que des chansons.

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