Scamacca, Jorginho et Di Lorenzo sont en danger

par notre correspondant

ISERLOHN Le ciel gris d’Iserlhon pose son regard sur une écriture qui ouvre l’entrée du stade Hemberg, où l’Italie a repris l’entraînement hier : aufwiedersehen, au revoir. Peut-être que nous ne sommes pas encore au revoir, l’Italie est encore maîtresse de son destin, mais hier elle est retombée dans la médiocrité, du moins lorsqu’il s’agit de défis de haut niveau. Un nul lundi suffira, c’est l’échappatoire, le palliatif, mais avec la Croatie, l’Italie doit se retrouver avant ce petit point pour sauver les huitièmes de finale. Cette salutation sonne cependant mal, surtout après la désastreuse, surtout à cause du (non)jeu exprimé par les garçons. Spalletti: 20 occasions contre 1, affirme l’UEFA. Les Azzurri ont besoin d’un réveil face à la Croatie, qui est une équipe ancienne et lente. Les Azzurri devront retrouver le bon rythme. L’entraînement d’hier, avant la demi-journée de liberté (jusqu’à minuit, certains sont allés à vélo, certains ont fait le tour de Dortmund, certains sont restés à l’hôtel), n’a pas fourni beaucoup d’informations, seuls ceux qui ne l’ont pas fait étaient occupés, ou étaient occupés pendant un moment. quelques minutes, avec l’Espagne.

L’Espagne supérieure, l’Italie s’effondre 1-0 grâce au but contre son camp de Calafiori. Un nul contre la Croatie suffit pour les huitièmes de finale

LA CONDITION PHYSIQUE

Le thème principal, dénoncé par l’entraîneur juste après le match l’autre soir, concerne l’apparence physique : l’erreur, avoué par Lucio lui-même, est de ne pas avoir compris que certains éléments – Jorginho, Di Lorenzo, pour ne citer que deux exemples – devaient être préservé. Les jambes ne tournaient pas et à partir de là, il était facile de donner le ballon à l’Espagne. Si les jambes ne tournent pas, la tête arrive en retard. Et nous finissons par courir après l’impossible : Rodri est l’homme qui a servi le plus de passes pour l’Espagne, Bastoni pour l’Italie et cela montre clairement qui sur le terrain était le chat et qui était la souris. Ensuite, il y a un aspect plus général, au-delà des problèmes contingents, qu’il faut souligner : l’Italie n’a pas la qualité des grands noms. Étudiez pour l’obtenir. Les données pour l’Italie de Spalletti (1er septembre 2023, date de l’installation du nouvel entraîneur à la place du Mancini démissionnaire) sont évidentes : deux défis contre les grandes équipes, deux défaites nettes (les seules avec Lucio sur le banc), significatif de ce point de vue. La première en Angleterre, le 17 octobre dernier : après l’avantage de Scamacca à Wembley, les talents anglais se sont manifestés, deux buts de Kane et un de Rashford, démontrant une écrasante supériorité. C’était la première véritable nomination de haut niveau pour Lucio. La deuxième lourde défaite a eu lieu l’autre soir à Genselkirchen, l’Espagne étant le dominateur absolu sur le terrain.

Le football que Spalletti veut proposer est ambitieux, mais cela prend du temps et lui-même n’est pas capable de changer, et il ne veut pas non plus. “Je ne suis pas la bonne personne”, a-t-il admis. L’Italie est en plein travail, au sein du groupe, ils savent très bien qu’aller de l’avant et peut-être gagner leeuropéen cela serait considéré comme un miracle. Et s’il est vrai qu’il faut laisser du temps aux jeunes, présents en nombre dans le groupe, il est vrai aussi que personne ne peut inventer la qualité de Bellingham, Yamal, Nico, Musiala. Les meilleurs d’Italie sont Chiesa et Barella, le reste est en pleine évolution. C’est pour cette raison que Lucio insiste sur le jeu comme « élément de salut ». Et c’est précisément le football captivant et sans scrupules qui devra amener l’équipe nationale au moins jusqu’en huitièmes de finale, comme tremplin pour 2026. La mini révolution – en vue du match contre la Croatie – est dans la tête de l’entraîneur. , qui changera certains éléments, en faisant venir de nouvelles personnes . Scamacca, souvent stimulé par l’entraîneur aussi bien à l’extérieur (« il est paresseux ») que depuis le banc (« s’il ne récupère pas le ballon, à quoi joue-t-il ? »), fait partie des exclusions possibles. Ceux qui ont payé la fatigue, peut-être plus que quiconque, sont Jorginho et Di Lorenzo : Retegui, Darmian (ou Bellanova) candidats au maillot. Les autres en jeu sont Frattesi et Pellegrini, avec Raspadori et Fagioli sur la rampe de lancement. Hier, avec les titulaires contre l’Albanie et l’Espagne, Lucio a essayé contre le Dortmund Primavera, Bellanova, Mancini, Buongiorno, Darmian, Folorunsho, Fagioli, El Shaarawy, Raspadori, Zaccagni, Retegui. Les cartes sont battues devant le public, mais dans la tête de Spalletti tout est très clair.

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