à Bergame, il monte à 27,1%

Bergame. Le poids du loyer sur les salaires des Bergamas continue de croître : Bergame continue, selon les données enregistrées au cours des cinq dernières années, le s’orienter d’augmentation liée à l’impact du coût du logement sur les revenus, même si notre capital reste inférieur à la moyenne nationale.

Une enquête sur Le soleil 24 heures – paru dans les pages du journal lundi 17 juin – a exploré la question brûlante du coût du logement et du fardeau que représentent les loyers plus élevés sur les salaires des travailleurs, une analyse qui enregistre le poids moyen du loyer sur le revenu des salariés dans les capitales provinciales entre 2018 et le 2023qui est passé (chiffre moyen national) de 31,6% à 35,2%.

La ville d’Orobic est située en dessous de la moyenne de la péninsule avec une incidence de 27,1%mais augmentant de 3,3% par rapport à il y a cinq ans. Un chiffre qui fait référence aux nouveaux contrats de gratuité enregistrés chaque année auprès de l’Agence des revenus. Sur le territoire national le pic maximum est détecté à Florence (46,5%), cinq autres villes dépassant le seuil des 40% (Pelouse, Venise, Rome, Vicence Et Bologne).

Nous parlons de chiffres qui montrent clairement le moment difficile pour les travailleurs et les entreprises. « Parmi les pays européens, l’Italie est le seul État où les salaires n’ont pas augmenté au cours des trente dernières années – commente-t-il. Marco Toscanosecrétaire général CGIL Bergame -. La question de la croissance des loyers et de leur impact sur les revenus met en lumière la nécessité d’une augmentation des salaires, qui doit avant tout passer par la négociation : le renouvellement des contrats nationaux est l’un des moyens de sauvegarder efficacement les salaires. L’actuel projet de loi sur le salaire minimum, en fait complètement vide, était une motion qui établissait un niveau de base de départ (9 euros) pour la négociation, une première aide à l’augmentation des salaires”.

Marco Toscano, secrétaire général de Cgil Bergame

Bergame est également inférieur au seuil national en ce qui concerne le loyer mensuel moyen : en 2023, le loyer mensuel moyen dans les capitales était de 731 euros (contre 615 euros en 2018), alors qu’en ville il s’élevait à 674 euros. Comme le rapportent les analystes Soleilau niveau national, il s’agit d’une augmentation plus marquée que celle de l’inflation enregistrée par leIstatégalement en raison de l’essor des locations de courte durée et de la forte demande des étudiants universitaires.

« La recherche illustre certainement la nécessité d’une rémunération adéquate à la lumière de l’augmentation des dépenses de la vie quotidienne, y compris le loyer – continue Toscano -. Pensons aux jeunes, à ceux qui entrent dans le monde du travail, restant souvent pendant des années dans un emploi précaire avec des salaires qui ne suffisent pas à garantir une vie indépendante. Ils sont souvent amenés à partir à l’étranger en raison des salaires. La question du logement est fondamentale : si nous voulons être attractifs pour les jeunes, il faut mettre en œuvre des politiques qui permettent aux plus jeunes de pouvoir vivre sur notre territoire. Il s’agit par exemple d’imaginer des formes d’aide au loyer particulièrement destinées aux plus jeunes. »

Les augmentations de prix ont particulièrement touché les familles ou les travailleurs qui ont signé un nouveau contrat l’année dernière, tandis que les locataires dont les propriétaires ont choisi le taux de taxe sèche ont moins souffert, car l’application du taxe forfaitaire a suspendu la possibilité d’actualiser la redevance en fonction de l’inflation, une sorte de « protection » offerte par le forfait.

Le loyer élevé n’est pas réparti uniformément sur le territoire national (en l’occurrence sur l’ensemble du territoire). 97 majuscules analysé) : dans 13 villes le montant moyen des loyers a diminué : du bilan positif des Pescara (-126 euros par mois, 395 euros du loyer moyen) jusqu’à Venisequi bien que restant l’un des centres où le loyer mensuel moyen reste globalement le plus élevé, enregistre une baisse de 72 euros (il se situe en 2023 sur 823 euros).

« Notre observatoire enregistre diverses transformations dans le cadre de la ville, notamment post-Covid – déclare-t-il. Luisella Gagnisecrétaire général de Sunia (Syndicat des locataires de Bergame) -. L’augmentation du loyer mensuel moyen est également due à la contraction de l’offre : la demande augmente et l’offre, au contraire, diminue. En effet, à l’expiration naturelle du contrat, les propriétaires ne renouvellent plus les contrats de location car ils souhaitent les transformer en locations de courte durée, méthode plus rentable pour le propriétaire mais avec un impact social important. Les gens acceptent des loyers encore plus élevés précisément à cause de ce manque d’offre”.

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« Les données les plus inquiétantes sont précisément celles liées à l’augmentation des expulsions dues à la fin du bail, avec des outils et des méthodologies agressives et sans laisser aux locataires le temps de trouver un logement – ​​poursuit Gagni -. Outils offerts par la loi pour accélérer le processus d’expulsion. Je parlerais en fait d’un drame du logement, d’une difficulté extrême pour de nombreuses familles à trouver un appartement à louer. C’est un phénomène qui devrait également concerner les institutions : ce délit de fuite impacte également les habitants. Les modifications réglementaires que nous avons demandées ne résolvent pas le problème, par exemple l’augmentation du taux d’imposition de 21% à 26%, avec un impact relatif sur le propriétaire”.

Les données ministérielles relatives à 2023 sur le nombre d’expulsions dues à la fin du bail ne sont pas encore disponibles mais devraient arriver dans les prochains mois.

« D’un autre côté, un deuxième aspect est lié à l’absence du collecteur social de ces situations, le logement social – conclut le secrétaire général -. Le nombre de logements sociaux vacants est également élevé dans la région de Bergame, avec un pourcentage élevé de logements inexploités. L’offre actuelle ne satisfait pas la demande, qui ne cesse de croître : le logement social est le dispositif qui pourrait accueillir les situations les plus fragiles. C’est une situation complexe, nos bureaux sont attaqués depuis le début de l’année : la nouvelle administration devra certainement faire un effort sur la question du logement”.

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