Trento, maltraite une jeune de 20 ans et la vole également reconnu coupable de calomnie : démasqué par un

Ère déjà été reconnu coupable de vol qualifié et d’agression sexuelle mais maintenant il a également été reconnu coupable du délit de diffamation: c’est ainsi que Jhonatan Freddy Chalan Berrocal (Péruvien de 39 ans) a été puni par le juge du Tribunal de Trente, Enrico Borrelli, encore huit mois et vingt jours.
L’histoire remonte à novembre 2018, lorsque le Citoyen péruvien il avait rencontré un jeune de 20 ans à l’arrêt de bus de via Maccani, à Trente. Après avoir rejeté une première approche, la fille s’était enfuie mais l’homme l’avait rattrapée et l’avait fait tomber la faire trébucher. Berrocal en a alors profité pour la molester, en lui palpant les parties intimes. Pas content, l’homme a réussi à voler le téléphone portable de la jeune femme et à obtenir 20 euros pour le lui rendre.

Les accusations

Rapports en main, la victime avait subi un traumatisme crânien et plusieurs contusions, ainsi qu’un fort traumatisme psychologique. A ce sujet, en janvier 2021, Berrocal a été reconnu coupable de vol et d’agression sexuelle à une peine de deux ans et trois mois, en plus d’une indemnisation pour préjudice et d’une amende de 540 euros. Condamnation confirmée en appel et en cassation. Cependant, pour tenter de se disculper, lors du procès, l’homme alors âgé de 45 ans avait pointé du doigt la victime : affirmant que c’était elle qui l’avait séduit. Toujours selon la version fournie par l’homme, le jeune homme de 20 ans l’aurait embrassé et peloté dans le but de lui voler son portefeuille et son téléphone portable. Autrement dit, l’accusé avait tenté de retourner complètement la situation en sa faveur, allant même jusqu’à citer comme témoin une religieuse présente via Maccani lors de l’attaque.

Le témoignage de la religieuse

Paradoxalement, c’est aussi grâce à témoignage fourni par la religieuse selon lequel l’histoire de l’homme a été niée dans la salle d’audience. La religieuse a en effet confirmé ce que rapportait la jeune femme qui lui avait demandé d’alerter la police immédiatement après avoir subi l’attaque.
C’est ainsi qu’après le premier procès, un autre a commencé pour calomnie, qui a eu lieu ces derniers jours à Trente. D’où la deuxième condamnation de Berrocal qui, en première instance, a été condamné à huit mois et vingt jours supplémentaires., ainsi que de devoir verser une indemnité de 2 mille euros à la jeune victime. «L’initiative de dénoncer également ce dernier segment de cette amère affaire – observe l’avocat de la victime Giuliano Valer – s’est avérée appropriée et nécessaire pour la protection respectueuse de l’honorabilité de mon client, non seulement à l’extérieur de la salle d’audience, mais aussi à l’intérieur. Ceci – continue l’avocat – puisqu’il était immédiatement apparu intolérable que l’accusé puisse se défendre en accusant et en calomniant de vol cette jeune femme, qui rentrait chez elle après une journée de travail”. Concernant la condamnation pour diffamation, Berrocal aura toujours la possibilité de faire appel.

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