MENOTTES À CASERTA. Offre trop basse. Et sept jours après l’arrestation, Franco Biondi “supprime” le contrat d’une valeur de plus d’UN MILLION de Gesim du suspect Raffaele Nunziante

MENOTTES À CASERTA. Offre trop basse. Et sept jours après l’arrestation, Franco Biondi “supprime” le contrat d’une valeur de plus d’UN MILLION de Gesim du suspect Raffaele Nunziante
MENOTTES À CASERTA. Offre trop basse. Et sept jours après l’arrestation, Franco Biondi “supprime” le contrat d’une valeur de plus d’UN MILLION de Gesim du suspect Raffaele Nunziante

CASERTE – Offre anormalement basse. C’est avec cette définition, prévue à l’article 97 alinéa trois du Code des Marchés Publics de 2016, que la commission d’appel d’offres désignée pour les travaux, financés par le PNRR, de récupération de la crèche municipale de viale Cappiello pour plus d’un million et demi d’euros, a à l’exclusion l’entreprise qui s’était classée première et se verrait donc attribuer les chantiers.

Il s’agit du Gésim srl, une société à laquelle le parquet de Santa Maria Capua Vetere fait remonter Raffaele Nunziantefils du célèbre entrepreneur Cyrus (ne faisant pas l’objet d’une enquête), récemment enquêté dans le cadre de l’enquête qui a conduit le 13 juin dernier à l’arrestation des directeurs municipaux assignés à résidence Franco Biondi, Giovanni Natale, l’employé municipal Giuseppe Porfidia et le conseiller Massimiliano Marzo, ainsi que l’entrepreneur Gioacchino Rivetti, père de l’employé du bureau technique Pasquale Rivetti (non étudié) qui travaillait donc sous la direction de Biondi lui-même.

En plus d’eux, des suspects en liberté entrepreneurs Raffaele Nunziante, Giuseppe Piscitelli et Michele Campanile, le chef du secrétariat de Marzo, Magdi Khachermi, Pasquale Marotta, entrepreneur, le gérant Luigi Vitelli, le conseiller et adjoint au maire Emiliano Casale, Gennaro Rondinone et Gaetano Di Tora, géomètre de la commune.

Pour Nunziante, le parquet de Santa Maria Capua Vetere avait même demandé son arrestation en prison, ce qui n’a pas été autorisé par le juge d’instruction Vecchiarelli.

Raffaella Nunziante est accusée de corruption électorale et corruption personnellerelatif à sa relation avec Massimiliano Marzo et quelques œuvres signées par les managers Luigi Vitelli et Franco Biondi.

L’exclusion de Gesim est ce qui ressort de la résolution numéro 637 du 7 juin, c’est-à-dire l’acte publié une semaine avant l’arrestation de Biondi et signé par lui.

La commission d’appel d’offres, qui comprenait également comme membre ledit Vitelli, a placé le 21 novembre dernier l’opérateur économique Gesim au premier rang du classement qui, comme mentionné, fait partie des entreprises Nunziante.

À ce moment-là, l’attribution des travaux d’une valeur de 1 million 728 mille euros à l’entreprise semblait acquise d’avance.

Mais la commission d’appel d’offres a jugé trop basse l’offre des Nunziantes, qui prévoyait une réduction de 15% sur les travaux ainsi que sur les frais techniques et une réduction des délais de construction de 140 jours.

Les réponses de Gesim sont arrivées, mais elles n’ont pas été jugées valables et, finalement, le 1er décembre, l’entreprise Nunziante a été exclue et l’attribution a été décidée. à la société Antea de Giugliano en Campanie, avec pour représentant légal un certain Pasquale Gogliaqui avait présenté un déclin non irrésistible du 2,56% sur les frais de travaux et techniques et une réduction des jours de chantier de 17,80.

Irrésistible, mais c’était quand même suffisant.

Une curiosité demeure cependant. Mais quand les carabiniers du commandement provincial de Caserta se sont-ils rendus dans la municipalité de Caserta pour « voir » les papiers de Gesim, Nunziante et tout le reste ? Avant ou après cette procédure d’appel d’offres ? C’est probablement déjà arrivé. Il n’est donc pas improbable d’imaginer que “l’expulsion” des Nonziantes de cette course puisse devenir une sorte d’hypothèse de défense pour les dirigeants. Quelque chose comme : « avez-vous vu la course Viale Cappiello ? Nous, les Nonziantes, ne les avons pas favorisés. »

Et en parlant d’entrepreneurs, nous ne savons pas si Nunziante voudra faire appel au TAR concernant ce prix. Et nous ne savons pas grand-chose d’autre pourquoi la municipalité de Caserta continue de ne pas publier les rapports d’appel d’offres, une violation très grave des lois sur la transparence, surtout à l’heure où une partie importante du Bureau technique de la municipalité de Caserta a été arrêtée ou fait l’objet d’une enquête.

La lecture du procès-verbal nous aurait permis de savoir si la commune de Caserta avait correctement suivi la règle qui a ensuite conduit à l’exclusion de Gesim. Parce que sinon, les Nonziantes auraient le droit de demander au Tribunal administratif régional de Campanie de recevoir l’attribution de ce contrat d’un million de dollars.

Et à ce stade, la procédure devrait retracer cette méthode, apparue dans d’autres enquêtes judiciaires sur l’administration publique, dans laquelle les gestionnaires publics commettent des erreurs de procédure, signe actes « kamikaze »facilement renversé par la justice administrative, de sorte que celle qui remporte ce contrat est l’entreprise exclue, parfois, en réalité, celle du cœur, choisie par le fonctionnaire.

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