Enfant tombé des murs, nouvelle ronde du juge de paix. Les parents s’expriment : “Pendant 4 ans après l’accident, nous n’avons pas pu mener une vie normale”

Enfant tombé des murs, nouvelle ronde du juge de paix. Les parents s’expriment : “Pendant 4 ans après l’accident, nous n’avons pas pu mener une vie normale”
Enfant tombé des murs, nouvelle ronde du juge de paix. Les parents s’expriment : “Pendant 4 ans après l’accident, nous n’avons pas pu mener une vie normale”

“Pendant les 4 années qui ont suivi l’accident, nous n’avons pas pu mener une vie normale.” C’est ce qu’il a affirmé devant le juge de paix du tribunal de Lucques, la mère de l’enfant français né le 21 août 2018, à l’âge de seulement 5 ans et demiest tombé des murs sur son vélo de location et a fini dans la canonnière du bastion de San Regolo. Une chute de près de six mètres qui lui a causé de graves blessures: cet incident, comme on le sait maintenant, est au centre d’un procès dans lequel les parents de l’enfant ont poursuivi la municipalité de Lucca comme prétendument responsable civilement. Comme on le sait désormais, le couple français a immédiatement porté plainte. Après une série d’enquêtes, le juge a établi l’accusation obligatoire contre l’ancien président de l’Opera delle Mura Alessandro Biancalana et deux directeurs, Maurizio Tani et Giovanni Marchi, assistés des avocats Lodovica Giorgi, Carlo Di Bugno et Andrea Rugani., pour dommages corporels causés par négligence, bien que le ministère public ait demandé son non-lieu. Le juge unique avait cependant estimé que la compétence en matière de blessures causées par négligence revenait au juge de paix, où la procédure était engagée.

Un enfant tombe des murs, les parents poursuivent également la municipalité de Lucca comme civilement responsable – Luccaindiretta

Lors de l’audience de ce matin (24 juin) les parents de l’enfant ont été interrogés (tandis que les deux autres amis du couple qui vivent à Dubaï n’ont pas pu se présenter). Tous deux ont donné leur version des événements, mais celle-ci en particulier la mère qui a fait valoir que la famille n’aurait pas pu mener une vie normale pendant environ 4 ans après l’épisode, devant également recourir à un soutien psychologique en raison du choc provoqué par l’accident dans lequel l’enfant et le père étaient impliqués. Le père de l’enfant blessé alors qu’il aidait son fils a également pris la parole. Selon la thèse de la défense de la Municipalité, l’homme aurait été meurtri en s’abaissant de l’autre côté du parapet, d’où était tombé l’enfant à vélo. Mais ce matin, le père a affirmé autre chose. En fait, l’homme a déclaré qu’il était tombé immédiatement après son fils : en voyant l’enfant tomber – c’est essentiellement sa version des faits donnée au tribunal – il a grimpé sur le parapet et a glissé faute de protection. Selon son récit, le père de l’enfant se serait donc blessé à l’épaule de cette manière et non – comme le prétend la défense de la municipalité – en s’abaissant du parapet, comme l’auraient prétendu d’autres témoins présents à l’époque, dont l’un serait un ami du couple.

Enfant tombé des murs de Lucques, la Municipalité ne règle pas : pas d’accord avec la famille devant le juge de paix – Luccaindiretta

Les deux parents ils ont ensuite soutenu que au moment de l’accident, ni à proximité, il y avait des panneaux avertissant du danger de chute et, par conséquent, ils ne pouvaient en aucun cas se rendre compte du risque que leur fils aurait pu courir. Pas seulement. Ils ont également affirmé qu’en parcourant la promenade des Murs à vélo, ils n’avaient pas réalisé la différence de hauteur par rapport au niveau des terrasses, car ils avaient fait une montée pour atteindre les murs qui, à leur avis, n’étaient pas si raides. comme pour suggérer des dangers de chute du parapet. Ne connaissant pas Lucques et marchant pour la première fois le long de la promenade de Mura, ils ont affirmé qu’ils n’avaient en aucun cas été avertis par les panneaux indiquant un risque de chute. C’est également un aspect contesté par la défense de la municipalité qui affirme au contraire que sur les murs il y avait des panneaux en cinq langues étrangères invitant à la prudence et informant les touristes et autres du danger de chute.

Thèse selon laquelle les avocats de la Municipalité pourront s’affirmer lors des prochains tours devant le juge de paix. Le 20 novembre prochain nous poursuivrons l’examen des autres textes. Parmi ceux-ci notamment, seront entendus les policiers municipaux intervenus sur place pour enquêter sur l’affaire immédiatement après l’accident.

PREV La Réserve Sughereta di Pomezia fête ses 40 ans, conférence et événements
NEXT Emma arrive au festival Ritmika à Moncalieri jeudi 13 juin pour la première étape de sa tournée estivale – Hier Aujourd’hui Demain