Forlì rêve encore d’un grand coup. Il essaie avec Marini. Et c’est un derby avec Rimini

Forlì rêve encore d’un grand coup. Il essaie avec Marini. Et c’est un derby avec Rimini
Forlì rêve encore d’un grand coup. Il essaie avec Marini. Et c’est un derby avec Rimini

Un cadeau ou un cliché surprise. Pour les Italiens, le marché de l’Unieuro ne semble pas encore terminé. Jusqu’à présent, il semblait que – malgré les accords encore à formaliser – Forlì avait presque complété la liste : un quintette de base composé de Tavernelli comme meneur, arrière et petit attaquant américain, Gaspardo comme attaquant de puissance et Del Chiaro comme centre ; un banc qui verrait jouer Parravicini, peut-être Cinciarini, Pollone se transformer en petit attaquant et Pascolo et Magro sous le panier. Mais des tentatives sont faites pour faire plus.

Le nom sur lequel se concentrent les efforts du couple Pasquali-Martino semble être un retour comme Pierpaolo Marini, ailier déjà à Forlì lors des deux saisons 2018/19 (entraîneur Giorgio Valli, puis Marcelo Nicola) et 2019/20 ( avec Sandro Dell’Agneau). Mais le nom de Marini ne serait pas le seul dans le viseur de l’équipe de Forlì : l’alternative conduirait à l’embauche de Matteo Imbrò, un gardien de jeu né en 1994. Évidemment – si tout se passait bien – un seul des deux arriverait, parmi La saison des autres coéquipiers vient de se terminer chez le nouvellement promu Trapani et tous deux ont été libérés.

Principal problème : ils ont tous les deux un salaire très élevé, surtout Imbrò qui, selon les rumeurs, gagnait plus de 200 mille euros par saison, tandis que Marini était bien en dessous de ce chiffre. Cela représenterait donc une dépense économique importante. Peut-être légèrement limité dans le cas d’un contrat plus long (deux ans). Deuxième problème : en A2, une vente aux enchères s’est déclenchée entre les équipes les plus ambitieuses, et cette concurrence multiple ne fait que faire monter le prix. Le plus intéressé par les deux est peut-être le Rbr Rimini : un véritable derby de marché. Dell’Agnello retrouverait Marini, dont il a toujours été un admirateur. Mais il y a aussi Pesaro, Udine et Fortitudo, les Bolognes étant légèrement désavantagés car ils n’ont pas encore choisi le remplaçant d’Attilio Caja.

Ayant déjà (presque) un joueur expérimenté et fiable comme Tavernelli dans le rôle de meneur titulaire, Forlì concentre son attention sur le retour de Marini. Mais comment l’équipe rouge et blanche changerait-elle dans le cas – difficile et onéreux bien sûr – de l’arrivée de l’ailier-garde né à Atri dans les Abruzzes le 8 octobre 1993 ? Depuis le banc, Marini serait un luxe supplémentaire. A l’inverse, s’il était décidé de le titulariser dans le quintet, le rôle envisagé pour les deux USA pourrait changer. L’arrivée de Marini éliminerait certainement du jeu le retour de Daniele Cinciarini en rouge et blanc, car il n’a pas encore décidé s’il accepterait ou non l’offre du club de Viale Corridoni pour une année supplémentaire en tant que spécialiste mais avec un salaire naturellement inférieur.

Marini a quitté Forlì après deux saisons à l’été 2020 pour accepter l’offre financière très élevée de Naples, l’équipe avec laquelle il a remporté l’A2 cette saison-là : sa première promotion, répétée il y a quelques semaines avec le maillot de Trapani. Marini a tendance à revenir dans les équipes où il a joué et où il s’est senti bien : la preuve en est le deuxième épisode de sa carrière à Treviglio (2016/17, puis 22/23).

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