L’ancien membre Ilaria De Sanctis. nous raconte les coulisses…Les Parrains et Maîtres de Teramo…

L’ancien membre Ilaria De Sanctis. nous raconte les coulisses…Les Parrains et Maîtres de Teramo…
L’ancien membre Ilaria De Sanctis. nous raconte les coulisses…Les Parrains et Maîtres de Teramo…

Le maire D’Alberto n’a pas écouté le bon sens d’un père de famille mais celui de ses deux conseillers, Andrea Core et Antonio Filipponi.
Il n’a pas écouté Sandro Mariani qui a conseillé au maire de ne pas procéder à un remaniement après 1 an mais de remplacer uniquement Giovanni Cavallari.
Le résultat? L’ouverture de la boîte de Pandore avec une collection de signatures, presque un unicum administratif, pour demander sa démission et les nombreuses vérités qui sortiront des anciens conseillers De Sanctis et Di Bonaventura.

Lisez la lettre d’Ilaria De Sanctis, ancienne conseillère de la municipalité de Teramo.

J’ai décidé d’écrire cette lettre pour remercier toutes les personnes qui, il y a un peu plus d’un an, ont exprimé leur préférence, dans l’exercice de l’un des droits fondamentaux de notre Constitution, le droit de vote, en écrivant mon nom et mon prénom. Pour moi, ce fut une source de fierté, mais aussi de stimulation, lorsque le maire, en composant le conseil, m’a remis les délégations aux affaires sociales et au logement public. Deux dossiers qui me sont très chers, sur lesquels, malgré le manque d’attention de l’administration et du Maire en premier lieu, j’ai tout mis. Peu d’attention oui… il ne suffit pas d’énoncer des principes généraux lors des réunions institutionnelles pour dire que ces aspects sont fondamentaux. Les selfies ou les publications sur les réseaux sociaux ne suffisent pas. Des actions doivent alors être mises en place pour que ce qui est dit devienne alors réalité.

Je vais vous donner un exemple : l’urgence du logement. Depuis le premier programme électoral, en 2018, Via Longo est une priorité. La situation dans ces immeubles, au fil du temps, s’est aggravée de façon exponentielle et les gens continuent à vivre à l’intérieur de la même manière que d’autres vivent dans les mêmes conditions dans d’autres appartements municipaux. Après avoir réussi à faire inscrire un chapitre budgétaire spécifique pour l’entretien des logements sociaux, j’ai compris que, malgré moi, c’était un sop, un leurre utilisé par le maire pour apaiser ces citoyens. J’ai passé ces derniers mois à exhorter les bureaux qui gèrent le patrimoine, même si ma délégation se limitait aux aspects liés aux appels d’offres pour l’attribution de maisons et administratifs, à intervenir sur la Via Longo, mais il y avait toujours plus à faire. A part quelques « morceaux » jetés de manière désordonnée, rien n’a été fait : après tout, que peut-on faire avec environ 200 000 € ? Mais nous avons été les premiers à nous fâcher contre Ater à propos de la Via Adamoli ! Outre l’entretien, la Via Longo, priorité de cette administration, nécessite, et je crois que c’est une évidence, un réaménagement général. Après avoir perdu tout espoir pour PinQua (Programme National Innovant pour la Qualité de Vie), ces derniers mois, le Maire a répété, comme un mantra, lors des rencontres avec les mouvements de logement, qu’il contracterait un emprunt immobilier pour régénérer les deux premiers bâtiments.

Nous sommes en juillet et honnêtement, il n’a pas donné de délai… peut-être qu’il attendait le remaniement ! Je continuerai d’être du côté de notre Ville et des plus faibles et je n’abandonnerai pas, même si le Maire ne m’aimait pas ! Et je n’allais pas bien, dès le lendemain du résultat des élections. Ce qu’il m’enlèverait, je le savais déjà depuis mai de l’année dernière, lorsque les données électorales soulignaient la différence entre ceux pour lesquels il dépensait personnellement et moi, à tel point qu’en composant le conseil il l’annonça, envoyant un message qui résonne clairement aujourd’hui, qu’après les régionales il changerait ce qui ne fonctionnait pas. Évidemment, j’étais une source de frustration, d’envie et de ressentiment de la part de ses conseillers les plus proches, de ceux qui ont été conseillers lors du dernier mandat ou de ceux qui ne l’ont jamais été. C’est évidemment moi qui n’ai pas travaillé, parce que je suis une personne libre et je croyais que ce slogan, “PAS PARRAINS, PAS MAÎTRES”, répété par le Premier Citoyen partout et surtout lors des conseils municipaux d’opposition, était notre vérité, notre Force. Aujourd’hui, malgré moi, la vérité est autre chose que je n’ai même pas besoin de révéler car elle est là, aux yeux de tous. Pour me soulager du conseil, le Maire a eu un peu de mal, à la fois parce que beaucoup de gens, qui au cours de ces deux mois « de décisions », l’ont approché pour lui demander de ne pas le faire, et parce qu’il devait trouver la justification.

Voici qu’un conseiller annonce d’abord sa sortie de “TOGETHER WE CAN” avec une conférence de presse à la fin dont le maire l’embrasse. Quelques jours plus tard, l’autre sort en pleurant. Ils rejoignent le groupe mixte ! Le Le Maire est acculé : avec quatre conseillers le groupe “ENSEMBLE NOUS POUVONS” ne peut pas maintenir trois conseillers ! Pendant ce temps, le Président du groupe de la Province, qui a élu trois conseillers, souhaite que le deuxième on ne peut pas dire non au conseiller et au président de la province. Je ne m’étendrai pas et je terminerai en m’excusant auprès tous les citoyens en 2017, avant la chute de l’administration de centre-droit, avec Gianguido et la conseillère d’alors Francesca Di Timoteo, nous avons fondé ENSEMBLE POSSIAMO en tant que groupe de conseil, saluant le PD. Je m’excuse si notre ville est à nouveau utilisée pour la carrière personnelle de quelqu’un. Je m’excuse si notre ville, aussi grâce à moi, a plus de parrains et plus de maîtres qu’elle n’en a eu dans l’histoire. Où vous allez Ce sera une autre histoire, comme le disent certains conseillers, mais pour moi, cela ressemble à une histoire que nous avons déjà vue.

PREV Milan, le calendrier de la nouvelle Ligue des Champions : voici les dates
NEXT Marin à Naples, écoutez le commentaire de Benitez : aucun doute sur l’accord