« Egmat ne doit pas mourir », grand succès pour le livre d’Angela De Lorenzo présenté à Venise et Forlì. Et maintenant, arrêtez-vous à Rome

« Egmat ne doit pas mourir », grand succès pour le livre d’Angela De Lorenzo présenté à Venise et Forlì. Et maintenant, arrêtez-vous à Rome
« Egmat ne doit pas mourir », grand succès pour le livre d’Angela De Lorenzo présenté à Venise et Forlì. Et maintenant, arrêtez-vous à Rome

Le chariot avec la carte d’embarquement mis en évidence. Et quelques volumes de soutien pour alimenter et susciter cette soif de lecture, de connaissance et d’apprentissage. Le voyage d’Angela De Lorenzo avec son ‘Egmat ne doit pas mourir’, publié chez Albatros, a commencé son long voyage de rencontres, de comparaisons, de connaissances, de découvertes. Deux déjà derrière nous, et celui de Rome à l’horizon, mais avec un calendrier déjà chargé qui la verra engagée dans la promotion d’une œuvre qui part de Crotone, embrasse la Calabre et son hospitalité traditionnelle mais qui s’entremêle dans un contexte et un contenu international avec la migration comme thème central.

Un voyage de dénonciation, de douleur, d’évasion. Mais aussi de rédemption, d’espoir, de renaissance. Ce qu’il a vécu en racontant l’histoire de Jahfar, le protagoniste d’une épreuve infinie qui rencontre cependant aussi la renaissance et la rédemption, s’est transformé en un livre que la sensibilité et l’approche offertes par De Lorenzo ont réussi à rendre extraordinairement engageant.

Un voyage qui a vu la semaine dernière le journaliste et écrivain de Crotone participer à deux étapes entre Venise et Forlì, organisées à l’occasion de l’anniversaire de la Journée mondiale des réfugiés et qui ont attiré une grande participation. Dans la ville lagunaire, et plus précisément à l’intérieur de l’auditorium des Procuratie Vecchie de Venise, « Egmat ne doit pas mourir » a inauguré le Festival de la Migration – In Movimento, un projet du programme Pour les Réfugiés de la Maison du Filet de Sécurité Humaine. Un lieu suggestif. pour un sujet d’une grande actualité qui représente toujours un moment d’échange et de réflexion. Le discours de l’écrivain a capté une attention absolue et suscité des émotions transversales. Car dans cette histoire qui mêle douleur et espoir, il y a un tumulte d’émotions qui ne laisse guère indifférent. Et qui amènent à réfléchir sur des dynamiques parfois sous-estimées et lointaines. Mais ils sont bien plus proches de nous qu’il n’y paraît.

Egmat ne doit pas mourir, c’est l’histoire de Jahfar, un garçon afghan arrivé en Calabre sur les routes de l’espoir : un point de départ que l’auteur souligne après la récente et énième tragédie liée aux naufrages de migrants en mer il y a quelques jours : ” terre de I land, Crotone, ma terre, près de l’Isola Capo Rizzuto où se trouve la plus grande Cara d’Europe », dit De Lorenzo, qui a vu de ses propres yeux la souffrance de ceux qui viennent de loin. Jahfar est le protagoniste de l’histoire vraie, arrivé par mer au péril de sa vie : un livre douloureux, surmontant les difficultés et les clichés liés aux migrants, des pages imprégnées de douleur et d’analyse des raisons qui poussent des milliers de personnes à abandonner leur pays. terre, racines et affections. Des aspects et des sentiments trop souvent sous-estimés et que la tragédie de Steccato di Cutro a mis en évidence.
De Lorenzo a également tenté de clarifier pour ceux qui avaient encore des doutes les raisons qui poussent, et pour certains, les raisons illogiques qui poussent les migrants à partir vers des routes inconnues avec les risques associés : « Il est paradoxal de se demander pourquoi des milliers de personnes décident de quitter le Pakistan et L’Afghanistan avec de tels risques – explique-t-il – est parfois coupable de mettre en danger la vie de ses enfants : avec Jafar, j’ai écrit ces pages pour démontrer que dans de nombreux pays, ce qui reste est beaucoup plus risqué que ce à quoi on devra faire face : nous non plus. Je ne connais ni n’imagine les raisons et les réalités de nombreux pays, et j’ai réalisé que mes connaissances étaient pleines de préjugés et de clichés envers des endroits que nous ne connaissons pas”.

Une longue salve d’applaudissements a conclu son discours, avec l’appendice de la copie signée de l’auteur à la fin de la rencontre vénitienne.
Mêmes émotions, sensations identiques également à Forlì. A cette occasion l’auteur du livre a présenté son travail au sein de la Bibliothèque Irisversari, une association qui s’occupe de promotion culturelle, de solidarité, de citoyenneté active, antifasciste et antiraciste, racontant les détails de son parcours et de sa récupération à Crotone, un lieu qui a marqué sa renaissance et qui représente sa résidence secondaire.
La prochaine étape verra De Lorenzo et son “Egmat ne doit pas mourir” voyager à Rome, dans le cadre du salon littéraire des éditions Albatros, au cours duquel seront retracées les étapes de l’écriture et le contenu du livre avec la perspective de pouvoir également démarrer une éventuelle production cinématographique pour une histoire poignante.

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