la famille ne croit pas à la maladie du psychologue

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la famille ne croit pas à la maladie du psychologue

PADOUE Le parquet de Padoue a ouvert une procédure pour homicide involontaire suite au décès de Vera Slepoj, psychologue et psychothérapeute padouane, ainsi qu’écrivaine et chroniqueuse…

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PADOUE Le parquet Padoue a ouvert une procédure pour homicide involontaire suite à la mort de Vera Slepoj, psychologue et psychothérapeute padouane, ainsi qu’écrivain et éditorialiste (elle a collaboré pendant des années avec Il Gazzettino) décédée dans la nuit du 20 au 21 juin à son domicile de Padoue, après avoir participé au dîner de clôture de l’activité annuelle de le Lions Club de Jappelli. L’autopsie sera pratiquée aujourd’hui et fait suite à une plainte déposée par la famille du professionnel.

Vera Splepoj est morte, l’enquête

La plainte arriverait au parquet après que l’examen diagnostique ait déjà été réalisé ces derniers jours à l’hôpital de Padoue : un examen de routine pour les morts subites qui aurait insinué quelques doutes chez les personnes les plus proches du psychologue et du psychothérapeute, qui ont ainsi convaincu de demander au parquet d’approfondir l’enquête avec un examen confié à un tiers et professionnel impartial pour clarifier tout doute sur les derniers moments de la vie de la femme. Pour mener chaque démarche avec toutes les garanties nécessaires, le parquet a donc ouvert un dossier pour homicide involontaire, sans toutefois inscrire aucun nom au registre des suspects. Ce qui a poussé les proches à déménager, c’est aussi le fait que Vera Slepoj, qui venait d’avoir 70 ans, avait toujours déclaré qu’elle se sentait bien et qu’elle n’avait jamais eu de problèmes de santé. La seule chose, une petite opération subie il y a quelques semaines mais de peu d’importance : la tâche du médecin légiste qui sera nommé aujourd’hui par le parquet sera d’acquérir le dossier médical avec l’ensemble des antécédents médicaux du professionnel et de voir si le décès pourrait être lié d’une manière ou d’une autre à cette intervention.

Vera Slepoj, la psychologue retrouvée morte chez elle : frappée par une maladie à l’âge de 70 ans

Il est possible que, par souci d’exhaustivité, des tests toxicologiques sur les tissus soient également organisés, dont les résultats nécessiteront cependant au moins trente jours d’attente compte tenu des analyses de laboratoire. Une fois l’autopsie réalisée, arrivera également l’autorisation pour les funérailles, attendue à Padoue déjà la semaine dernière mais reportée en raison de l’examen hospitalier puis de la plainte qui a poussé la justice euganéenne à procéder à l’autopsie. Invitée le soir du 20 juin par la présidente du Lions Club Jappelli, Sabrina Talarico, à un événement à la Villa Tevere, à Padoue, Vera Slepoj a parlé pendant 20 minutes – au lieu des 10 attendues – comme une rivière en crue, réitérant le il faut réfléchir davantage au prochain. Elle était joyeuse, mais à 23h30 elle a dit qu’elle préférait rentrer chez elle pour retrouver ses chiens bien-aimés. Les voisins les ont alors entendus pleurnicher et aboyer de minuit à 2 heures du matin, étrangement car d’habitude ils étaient silencieux, mais ils pensaient se plaindre parce qu’ils étaient seuls.

C’est la femme de ménage qui a découvert le malheur le matin : Vera Slepoj était dans le salon, assise sur le canapé avec les chiens qui la surveillaient à côté d’elle, morte depuis quelques heures. Surnommée la « psychologue de l’amour », elle était originaire de Portogruaro, mais Padoue d’adoption. En 1977, elle obtient son diplôme de psychologie à Bo et entame alors une carrière pleine d’activités. En tant que présidente de la Fédération italienne de psychologie dans les années 2000, elle est intervenue dans de nombreux événements d’actualité, du massacre de Novi Ligure au meurtre de Sarah Scazzi. Le rejet de Sailor Moon reste célèbre, ce qui, selon elle, aurait pu compromettre l’identité sexuelle des enfants de sexe masculin.

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