2 juillet : réunion sur l’édition du génome en agroalimentaire à l’Université de Parme

2 juillet : réunion sur l’édition du génome en agroalimentaire à l’Université de Parme
2 juillet : réunion sur l’édition du génome en agroalimentaire à l’Université de Parme

Parme, le 26 juin 2024 – Nous parlerons enjeux réglementaires et perspectives de recherche concernant les nouvelles techniques génomiques en agroalimentaire Mardi 2 juillet à l’Université de Parmelors d’une réunion d’étude incluse dans le projet PNRR Onfoods – Recherche et innovation pour une alimentation et une nutrition durables (Parole 1 – Durabilité Globale) et au sein du projet De la nourriture pour l’avenir du Département de droit, d’études politiques et internationales (Département d’excellence 2023-2027).

Crispr et le secteur agroalimentaire : enjeux réglementaires et premières expérimentations le titre de la réunion prévue à 11 heures dans la salle des drapeaux du siège (via Università, 12) : opportunité d’explorer les potentiels et les problèmes, également d’un point de vue juridique, liés aux nouvelles techniques génomiques (également connues sous le nom de Technologies d’Évolution Assistée – TEA) dans le secteur. Les nouvelles techniques, dont on parle beaucoup également dans la lutte contre la faim, la pauvreté et la malnutrition, offrent la possibilité d’obtenir des produits plus sophistiqués que les organismes génétiquement modifiés (OGM) traditionnels et pourraient donc apporter une contribution importante en termes de la sécurité alimentaire et dans la lutte contre les impacts du changement climatique, avec la possibilité de créer des variétés plus résilientes tout en conservant les caractéristiques organoleptiques du produit.

Cependant, la commercialisation et la possibilité de réaliser des expérimentations sur les variétés obtenues grâce à l’utilisation de techniques de modification génétique n’ont jamais été simples, à commencer par le régime réglementaire qui soumet depuis 2018 les nouvelles techniques génomiques à la réglementation sur les OGM.

Face aux défis auxquels le secteur agroalimentaire est confronté et aux multiples demandes formulées par la communauté scientifique concernée, des évolutions significatives se produisent aujourd’hui. Au niveau européen, un nouveau règlement est en cours d’approbation visant à simplifier le processus d’autorisation pour les produits issus des nouvelles techniques génomiques, différenciant cette discipline de celle envisagée pour les OGM. De même, en ce qui concerne le contexte italien, en juin 2023, la loi 68 (relative à la conversion du décret dit de sécheresse) a introduit la possibilité de cultiver à des fins de recherche des variétés obtenues grâce à l’utilisation de nouvelles techniques génomiques (dont la technique est également incluse Croustillantcapable d’éditer la constitution génétique des espèces végétales), identifiant le chemin d’autorisation pertinent.

La première expérimentation italienne, basée sur le projet de recherche, a donc débuté en mai 2024 Répondre: la culture d’une variété de riz génétiquement modifié afin d’être résistant à une certaine espèce de champignon (Pyricularia oryzae) responsable de la brusone, la principale maladie du riz. Cependant, l’expérimentation a été compromise, dans la nuit du 20 au 21 juin, par un grave acte de vandalisme.

Tout cela et bien plus encore sera discuté lors de la réunion du 2 juillet, qui sera modérée par le directeur scientifique du projet. De la nourriture pour l’avenir Lucie Scaffardi. Après l’introduction de Tommaso Ganinoprofesseur d’arboriculture générale et d’arboriculture à l’Université de Parme, interviendra Vittoria Brambillaprofesseur de botanique générale à l’Université de Milan et responsable du projet de recherche Ris8imo avec mon collègue Fabio Fornara, Roberto Defezpremier chercheur à l’Institut des Biosciences et Bioressources du CNR de Naples, e Maria Chiara Errigochercheur en droit constitutionnel à l’Université de Parme.

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