Rome, «J’ai été trompé par le piéton qui faisait semblant d’avoir été heurté. Il m’a demandé 45 euros et j’ai réalisé que c’était une arnaque”

J’ai craqué pour ça aussi. Même si j’avais vu les vidéos du fraude de la faux piéton Que simuler un accident route pour extorquer àautomobiliste un remboursement immédiat, même si j’étais presque sûr de ne pas avoir heurté la personne que j’avais entendue sur la route crier et j’ai vu à genoux du rétroviseur.
Je suis tombé amoureux aussi et j’ai été victime d’une sorte d’arnaque qui se déroule diffusion dans la capitale. ET quand j’ai compris ce dans quoi j’étais impliqué était trop tard.

C’est pourquoi j’aimerais expliquerdynamiquetrès simple et pourtant complexede l’événement e ce qui se produit dans l’esprit de ceux qui sont impliqués, contre leur gré, dans ce crime.

Les faits

Le mercredi 26 juin, vers 15h, je roule en voiture via l’Étrurie. Je ne suis pas particulièrement pressé, mais je dois arriver à l’école dans moins d’une heure Pignéto attendre mon fils à la sortie. Juste dans ce quadrant de Rome, depuis Saint Jean à Don Boscoles escroqueries impliquant de faux accidents contre les conducteurs se sont répandues comme une traînée de poudre ces derniers temps, «intentionnellement heurté” des escrocs piétons.
Après avoir passé un passage pour piétons, j’entends un bruit c’est un hurlement et, en regardant dans le rétroviseur, je vois un homme à genoux Que il déclame contre ma voiture. Je n’ai pas l’impression de l’avoir frappé, pourtant, au bout de quelques secondes, je m’arrête et je pense : « Et si je le faisais vraiment ? Et si je ne l’avais pas remarqué ? Je ne peux pas le laisser comme ça, ce serait aussi une omission d’assistance.”

Je l’atteins et il me montre une voiture à proximité en disant que le conducteur avait tout vu, tandis que ce dernier déclare simplement : “J’ai vu qu’il est tombé”. J’essaie de répondre au paniqueje remarque qu’il a un blesser sur l’avant-bras, également soutenu par cicatrices vieux et un téléphone portable avec le verre brisé. Je propose d’appeler immédiatement sauvémais il d’une manière gentille mais arrêt – il était évidemment italien et avait même une langue raffinée -, refuser et compteurs : « Je vais bien, mais maintenant Qui paie les dommages causés au téléphone ?». Après une courte conversation, j’appelle police municipale.
Aucune réponse après d’interminables minutes d’attente.

Pendant ce temps le la panique augmentede même que le sentiment d’être dans une impasse augmente et que le peur retarder l’engagement que j’aurais peu de temps après. Le « pion » me propose une solution simple et rapide : «Donnez-moi de l’argent pour réparer le téléphone portable et c’est très bien». Et c’est à ce moment-là que je comprends dans quoi j’étais impliqué, mais je remarque aussi qu’en face, un un autre homme nous regarde. Je pense qu’ils sont deux, un sentiment qui se confirmera au bout de quelques minutes.

je dis je n’ai pas d’argentce qui correspond à la vérité et il me demande de retirer autant que nécessaire (seulement 45 euros pour le problème…) à un AU M. Il se rapproche de plus en plus de 16h, je regarde autour de moi et la rue est presque déserte. J’ai peur qu’ils aient pris pour cible la voiture, et je l’accepte. Malheureusement, pendant le trajet jusqu’au guichet automatique, je ne croise aucun véhicule des forces de l’ordre et la « fausse victime » me suit pas à pas, tandis que l’autre personne suit le même itinéraire de l’autre côté de la route. Les deux s’arrêtent quand je me retireprobablement pour éviter d’être piégé par appareils photo de la banque. Je délivre la somme et après l’avoir encaissée le faux pion me suit encore une minute puis disparaît dans le métro du roi de Rome.

Arrivé en voiture, je m’arrête pour regarder la vidéo diffusée en ligne par certains utilisateurs d’un fraude pareil dans la région Don Bosco Et Je reconnais la même personne que j’ai rencontré. Quand je rentre à la maison, je le fais signaler à la police qui n’est pas surpris par la dynamique.

La sensation

Une arnaque qui semble simple, mais en réalité elle l’est très complexe. L’agresseur, en effet, parvient immédiatement à créer un sentiment chez la victime sentiment de culpabilité illusoire qui sert à «la tromper» dans les premières minutes décisives nécessaires pour évaluer Le nuire c’est à appeler à l’aide et l’application de la loi. UN violence psychologique mince très efficace. Je suis convaincu que de nombreuses victimes n’ont pas bien compris ce qui s’est réellement passé et ont poussé un soupir de soulagement après avoir payé une somme qui s’avère finalement être petit.

Et c’est aussi là demande très réduit un élément qui fait renoncer à un possible résistance. Vouloir se débarrasser d’un problème qui pourrait s’avérer bien plus important. L’esprit clair je me dis : « J’aurais dû appeler les secours, j’aurais dû appeler la police, j’aurais dû être plus je me réveille et astucieux», mais je ne peux le faire que maintenant, pendant que j’écris, à ce moment-là peur c’était le dissuasif plus fort que tout autre titre. Je voulais raconter cette histoire précisément pour expliquer la dynamique de quelque chose qui semble impossible à beaucoup, mais qui peut toucher tout le monde, tout à coup, par un tranquille après-midi d’été.

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