la vérité choquante découverte lors d’une visite aux urgences

la vérité choquante découverte lors d’une visite aux urgences
la vérité choquante découverte lors d’une visite aux urgences

TRÉVISE – Il l’a agressée pendant des années, depuis qu’elle n’était qu’une enfant.

Profitant du fait qu’il vivait dans la même maison qu’il était le nouveau compagnon de sa mère, dans l’arrière-pays de Trévise. L’homme, un habitant de Castellana âgé de 55 ans, a comparu devant le juge de l’audience préliminaire, Marco Biagetti, défendu par l’avocat Mario Nordio.

L’ACCUSATION

Il doit répondre de l’accusation d’agression sexuelle aggravée car, abusant de son autorité, il a forcé la petite fille, qui au moment des faits avait 7 ans et jusqu’à ses 10 ans, à accomplir et à subir des actes sexuels avec tâtonnements dans diverses parties. du corps . Les abus ne cesseraient pas. Ils continueraient de manière cohérente, régulière. Et à mesure que la petite fille devenait une jeune femme, il y aurait des rapports sexuels complets. Fondamentalement, la relation change lorsqu’elle atteint l’âge de 15 ans. Des relations qui durent jusqu’à ses 17 ans et quelque chose se passe dans sa vie : elle tombe amoureuse d’un garçon de son âge. Il a la force de repousser son beau-père. Mais personne ne sait rien ni même ne se doute de rien. Ni la mère, ni les professeurs, ni les amis, ni le milieu sportif avec lequel la très jeune fille partage son temps libre.

LA DÉCOUVERTE

Mais la petite fille souffre d’une infection assez grave, qui peut se transmettre sexuellement. Alors, elle se rend aux urgences, où elle est examinée et, interrogée par le médecin qui tente de comprendre ce qui s’est passé, elle révèle l’horrible vérité. «J’ai eu des relations sexuelles complètes avec mon beau-père», admet-elle. Une déclaration qui déclenche le protocole anti-violence. Elle est encore mineure. Une enquête est ouverte, la très jeune fille est auditionnée, et l’homme de 55 ans, résidant au château, est mis en examen. Hier, lors de l’audience préliminaire, l’avocat Nordio a demandé au juge d’instruction Biagetti, procureur Brunetti, d’admettre son client au procès abrégé pour bénéficier de la réduction d’une peine qui s’annonce très lourde. Le premier chef d’accusation, celui relatif aux violences sexuelles aggravées, prévoit une peine allant de 7 à 14 ans, pour les autres chefs d’accusation la peine varie entre 5 et 10 ans. La partie lésée ne s’est pas constituée partie civile et les parents de la jeune fille non plus. L’audience a été ajournée au 26 novembre pour discussion.

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