5 ans à l’influenceur VIP et DJ Sultano Aldair

Trente-deux mille abonnés sur Instagram, plus de cinq mille sur Facebook : ha très cliqué et très commenté sur les vidéos et photos sur les profils sociaux ; ils l’appellent pour faire le DJ dans les endroits les plus branchés pour Cortina, Porto Cervo et Ibiza; il est un habitué des événements glamour souvent organisés par lui-même ; compte de nombreux amis parmi lui VIP du sport, du cinéma et du divertissement parmi lesquels se distinguent des réalisateurs estimés et des actrices provocatrices. C’était l’acteur bien connu lui-même Umberto Smaïlale voyant habillé en sultan arabe dans une discothèque de la Costa Smeralda, lui donnant ce surnom de «Sultan Aldaïr» d’où le Véronèse Manuel Adami, né il y a 31 ans à Soave, n’a plus jamais voulu se séparer. Une vie sur papier glacé, entre soirées exclusives et feux de la rampe, celle pour laquelle “le Sultan” était connu jusqu’à présent.

La phrase

Mais tout ce qui brille n’est plus de l’or, après la condamnation qui vient d’être prononcée contre lui par le tribunal collégial de Vérone présidé par la juge Alessia Silvia. Un verdict au premier degré aux proportions lourdes : 5 ans et 8 mois d’emprisonnement, le montant total de la peine de prison infligée à Aldair-Adami pour quatre chefs d’accusation allant de de l’usure à l’extorsion en passant par le trafic de drogue. Au lieu de cela, il y a eu deux accusations, l’une pour usure et la seconde pour violence privée, dont l’homme de 31 ans de Vérone a été acquitté, assisté de l’avocat Giovanni Chincarini qui, une fois les motifs déposés par les juges, avait déjà a annoncé l’appel.

Usure à des taux supérieurs à cent pour cent

Parmi les accusations dont le sultan « éclectique » a été tenu pour responsable par les magistrats de Vérone, il y avait celle d’avoir prêté à un jeune Véronais en difficulté financière en raison de la vice de jeule chiffre de 20 mille euros «demander et obtenir en échange la restitution des totaux 50 mille euros». Un taux usuraire même supérieur à cent pour cent, selon les enquêtes menées par la Direction des Finances. De mécanique à qui il avait prêté 6 mille euros, Aldair-Adami aurait cependant obtenu la restitution de 12 mille euros de manière extorquée, “le menaçant de le faire “criminels à gages de nationalité africaine ou roumain pour le tabasser ou mettre le feu à son atelier.”

Le suspect de drogue

De prétendues méthodes de chantage que, selon l’accusation, le “Sultan” aurait également exercées contre une autre connaissance, à qui il aurait exigé 150 euros pour lui rendre une paire de lunettes Ray Ban livrés par erreur à l’accusé au lieu de la personne lésée qui les avait commandés et achetés sur le web : une prétendue tentative d’extorsion qui n’aurait de toute façon pas été mise en œuvre, car la victime aurait refusé de remettre les 150 euros au sultan. Enfin et surtout, les soupçons de médicament: le DJ-influenceur qui “fait un clin d’œil” aux VIP, selon le parquet de Vérone, a également fait passer plusieurs doses de cocaïne à un trentenaire. Un gramme pour cent euros, pour un total de 72 ventes et une collecte de 7 200 euros. Rien, cette fois, de quoi se réjouir.

PREV « Secret Veneto », tous les événements du week-end des 29 et 30 juin 2024
NEXT aujourd’hui orages et éclaircies, mardi 2 nuages ​​épars, mercredi 3 orages et éclaircies » ILMETEO.it