la passion du travail et la spécialisation en psychiatrie

PADOUE – Dans les couloirs des hôpitaux et dans les salles de classe universitaires. Amis, camarades de classe et professeurs. La nouvelle de l’accident de Madère s’est répandue…

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PADOUE – Dans les couloirs des hôpitaux et dans les salles de classe universitaires. Amis, camarades de classe et professeurs. La nouvelle de l’accident de Madère s’est rapidement propagée du Palazzo Bo à la Via Giustiniani, choquant tous ceux qui avaient connu le sourire de Margherita Salvucci ces dernières années. La date des funérailles n’a pas encore été fixée et il faut attendre longtemps entre l’autopsie, l’approbation de la justice et le retour du corps en Italie, mais beaucoup ont déjà exprimé le désir de partir pour les Marches le moment venu. dire au médecin un dernier adieu le cœur brisé.

Margherita Salvucci, remise des diplômes à Padoue

Née à Jesi et élevée dans la région de Macerari, Margherita est arrivée en Vénétie pour étudier la médecine à Padoue et a obtenu son diplôme le 6 juillet 2021 dans la salle Nievo du Palazzo Bo avec la note maximale, 110 cum laude. Il y a une belle photo de famille pour décrire ce moment de joie infinie. Il avait effectué un stage au Centre de Santé Mentale de Padoue, Via Berchet, auprès du Dr Angela Passamani et se spécialisait depuis trois ans en psychiatrie dans le service hospitalier. A Padoue, il avait aussi trouvé l’amour. Le petit ami de la province de Venise, d’abord camarade de classe puis collègue du département, a immédiatement pris un vol pour le Portugal. C’est lui qui a alerté hier les autres médecins de la Via Giustiniani du drame.

Recherche et passion du travail

“Nous sommes tous très attristés par cette perte”, déclare Angela Favaro, directrice du service psychiatrie de l’hôpital de Padoue. Surtout, le professeur Fabio Sambataro la connaissait bien. Il a agi en tant que directeur de thèse de la jeune fille mais est également directeur de l’école doctorale en psychiatrie. «Je l’avais rencontrée à l’époque du Covid, lorsqu’elle était coincée dans les Marches et qu’elle m’avait demandé de faire ma thèse. À l’époque, dans les Marches, la pandémie n’était pas encore aussi dramatique qu’en Vénétie et je me moquais d’elle en disant qu’elle était toujours bronzée. Margherita souhaitait se spécialiser en psychiatrie mais s’intéressait également à la recherche. Elle aurait dû partir à la fois dans le Haut Adige et au Canada pour effectuer six mois de travail de très haut niveau. Elle s’intéressait à dépression postpartum et il avait également travaillé avec moi sur le trouble bipolaire». La mémoire professionnelle se conjugue avec la mémoire personnelle. «Une personne formidable, toujours souriante et toujours prête à apporter son soutien à tout le monde. Jamais impoli, jamais non. C’est une grande perte professionnelle, car elle était aussi très douée pour les relations avec les patients, mais c’est surtout une grande perte humaine. Elle vivait à Padoue depuis un certain temps et y était désormais très bien établie. Il nous avait raconté son parcours et son attachement à sa famille. Dans deux semaines, elle serait de nouveau de garde avec nous. »

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Le Gazzettino

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