«Ils seront les sentinelles contre la maladie du jeu»

Ce n’est plus “simple” barmans et buralistes, mais véritables « sentinelles de l’addiction au jeu ». La lutte contre la maladie du jeu recommence avec ceux qui dispensent ce « vice » chaque jour, et à qui on demande désormais de ne plus se retourner devant ces gens qui passent des heures dans leurs locaux à jeter des pièces dans la machine à sous, mais pour les aider à comprendre qu’ils souffrent d’un trouble et que sortir du tunnel de l’addiction est possible. Le nouveau vous apprend à le faire, en gérant d’éventuelles réactions de colère ou de découragement cours de formation destiné aux gestionnaires d’établissements publics où sont actives les machines à sous de la Autorité Sanitaire Locale 3 Serenissimadevenir obligatoire à partir de cette année.
Les managers auront un an pour suivre la formation d’un coût de 100 euros, à l’issue de laquelle ils se verront délivrer un att.testé ce qui leur permettra d’éviter des pénalités qui, à partir de 500 euros, peuvent atteindre jusqu’à 6 mille euros. Cependant, à partir de juin 2025, tous employés qui travaillent dans les bars, les buralistes et les salles de machines à sous auront l’obligation de suivre le même cours, sachant qu’ils ne disposent que de trois tentatives pour réussir l’examen final, faute de quoi ils devront redoubler les cours.

Les chiffres noirs de la Vénétie

Les mesures de lutte contre la dépendance au jeu deviennent chaque année de plus en plus nécessaires : Rien qu’en 2022, les Vénitiens ont mis dans le jeu 4 milliards, 897 millions et 50 mille euros.soit un milliard et demi de plus qu’en 2021. «C’est comme si chacun de nous, même ceux qui ne jouent pas – dit le directeur des services sociaux et sanitaires de la Régie Sanitaire Locale 3 Massimo Zuin – en 2023 avait mis 1.200 euros sur la table verte. La Vénétie partage alors le record national des machines de loterie vidéo avec les Abruzzes: en termes simples, il y en a 12 pour 10 000 habitants.” À ce jour, il existe effectivement des machines à sous actives en Vénétie 25.605, distribué dans les lieux publics 4 963 commerçants différents. Les patients traités par les différentes autorités sanitaires locales de Vénétie pour des troubles liés au jeu sont au nombre de 1.419, dont 187 (pour la plupart des femmes) se tournent vers l’autorité sanitaire locale 3.

Le portrait du joueur

«L’identité de joueur moyen responsable – explique le directeur du Serd de Chioggia et personne de contact pour le projet Ermanno Margutti – est un homme entre 30 et 50 ansjoue aux machines à sous en ligne et sur place et, sur le plan professionnel, est employé de façon permanente. » Il existe de nombreuses différences entre les sexes en matière de jeu : alors que les hommes ont tendance à s’isoler et à tenter leur chance dans les paris sportifs et les machines à sous, les hommesune femme joue dans la vieillesse, âgé d’environ plus de 70 ans, il a tendance à le faire en groupe et préfère les jeux de grattage et les loteries. À cet égard, la Région Vénétie consacre un peu moins de 8 millions d’euros par an à des activités de lutte contre les troubles du jeu.

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