des cousins ​​de vingt ans signalés par la police

des cousins ​​de vingt ans signalés par la police
des cousins ​​de vingt ans signalés par la police

TERNI – Dans l’appartement loué par sa mère au centre, à deux pas de la Via Battisti, il cultivait des plants de cannabis avec son cousin.

La maison où la drogue était cultivée avec le plus grand soin, selon les rapports des propriétaires de la copropriété, était une destination pour les jeunes qui allaient acheter la dose.

L’activité de trafic de drogue des deux cousins ​​​​dans la vingtaine d’Amérique du Sud habitants de la ville depuis quelque temps, a été écrasé par la police avec la plainte des jeunes trafiquants. Soupçonné de production de drogue, les enquêteurs s’efforcent désormais de reconstituer le réseau de trafic de drogue qui aurait été mis en place.

Ce qui a poussé les policiers de Terni à concentrer leur attention sur cet appartement, où il y avait un va-et-vient inhabituel à toute heure du jour et de la nuit, c’est l’administrateur de la copropriété vers qui les résidents s’étaient tournés.

Les agents de Le commissariat de Terni, le service de prévention de la délinquance et une unité canine de Nettuno, ont réalisé un service ciblé qui, ces derniers jours, nous a permis de passer au crible les parcs, les jardins et les appartements, les voitures et les personnes dans les rues du centre et de la périphérie, comme l’exige le commissaire, Luigi Mangino.

Parmi les lieux visés figurait également la maison du centre, où a eu lieu mercredi une énième opération de lutte contre la détention et le trafic de drogue.

Dès que les policiers ont ouvert la porte, le berger allemand Odina a immédiatement montré des signes indubitables de la présence de substances narcotiques.

Il y en avait quatre dans la chambre pots en plastique avec une plante de cannabis à l’intérieur de chacun: trois plantes quatre-vingts de hauteur sans inflorescences et une trente avec inflorescences.

La perquisition a alors été étendue à toutes les pièces et a permis de retrouver, à l’intérieur d’une armoire, 95 sachets unidose avec le logo « Grow Shop Doctor Green », uune balance générale pour emballer le cannabis léger, et deux balances de précision pour préparer les doses individuelles.

Les deux jeunes sud-américains d’une vingtaine d’années, tous deux sans casier judiciaire, selon ce qui a été reconstitué, ils vivaient dans cette maison qui avait été louée par une femme qui s’est avérée être la mère de l’un et la tante de l’autre, qui n’était pas présente dans la maison au moment de la perquisition. Les deux hommes ont été emmenés au commissariat et après les contrôles rituels, ils ont été dénoncés pour production de stupéfiants.

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