la plainte de 100 médecins d’Andria

la plainte de 100 médecins d’Andria
la plainte de 100 médecins d’Andria
La plainte du public dje Tommaso Di Renzo. Ninni Inchingolo et Dino Leonetti, médecins de ville qui expliquent dans cette communication leurs inquiétudes concernant l’installation d’antennes dans la ville, notamment celle de via Scipione l’Africano.

“Une centaine de médecins travaillant dans notre villedes médecins engagés chaque jour pour soigner nos concitoyens, ils ont signé une pétition adressée au maire, de sorte que éviter tout risque évitable de mauvaise santé par des actions concrètes. Nous, médecins, appelons cette action « prévention primaire », c’est-à-dire mise en œuvre avant que les personnes en bonne santé ne tombent malades. Dans cette pétition, nous faisons spécifiquement référence aux champs électromagnétiques et à l’installation via Scipione l’Africano.

Dans le pétition il s’est interrogé sur bloquer cette installation, De établir un plan de localisation et effectuer un suivi sur tout le territoire de la ville. Il a également été demandé de mettre fin à un protocole de coopération avec un opérateur qui prévoit l’achèvement de l’installation de systèmes de cinquième génération (5G). Bien évidemment, était joint un dossier scientifique conséquent, établi par l’ISDE (Médecins pour l’Environnement, organisation internationale de prévention).

Divers ventriloques idiots du monde politique local face à la mobilisation massive des citoyens, y compris les marches et les sit-in, face également à l’énorme travail de coordination réalisé dans une parfaite solitude par l’association “Io ci sono” de Savino Montaruli, et face à l’appel au TAR Pouilles ils ont réagi en parlant d’exploitation, de désinformation, d’alarmisme, d’ignorance et ont même insinué des soupçons sur la méthode de collecte des signatures pour la pétition.

Dans cette réaction désordonnée du monde politique, Le maire n’a pas tardé à dire qu’il y avait déjà ceux qui surveilleraient les champs électromagnétiques à travers le protocole avec une agrégation d’associations. Dommage que leLe conseiller Di Leo soulignera que la surveillance est effectivement la responsabilité de l’ARPA.

Le gestionnaire termine l’installation du poteau. Le maire lance alors un appel pressant pour arrêter les travaux et déplacer le poteau. Il est dommage qu’en même temps, le conseiller environnemental Losappio rencontre les citoyens, leur disant que le système peut être activé de toute façon et qu’ensuite la municipalité se chargera du contrôle. Mais l’ARPA n’était-elle pas compétente, comme l’a dit l’autre conseiller ?

Il est curieux de voir comment la maire demande publiquement à la dernière minute la “suspension et la réévaluation de l’ensemble du projet” et comment sa propre conseillère à la Qualité de Vie déclare : “Je réitère qu’à l’heure actuelle aucune autre intervention n’est possible”. Et contredit donc le premier citoyen.

On se demande s’ils se parlent dans l’administration.

Ecco. Ce qui nous consterne, nous médecins, c’est la superficialité que nous avons constatée dans la gestion de cette question très délicate. ce qui a créé une alarme sociale. Et qu’en est-il du silence coupable de ceux qui ont des connaissances et des capacités et ne sont pas intervenus ?

Le poteau a été installédonc, et est prêt à accueillir les panneaux répétiteurs qui irradieront la population voisine.

Dans la dernière intervention médiatique de la maire, celle où elle apparaît horrifiée par cette installation, Nous sommes frappés par le fait que les mots « santé » et « prévention » ne sont jamais évoqués.

Ce sont des mots importants qui ont également inspiré l’appel au TAR, lancé par les habitants et l’association de Montaruli, ainsi qu’une question élémentaire et simple : est-il vrai que l’administration a été contactée par les gestionnaires, qui étaient disponibles pour déplacer l’usine de via Scipione et que la municipalité n’a jamais répondu ?

Le maire parle aujourd’hui de “dégradation de l’image”, tandis que nous médecins, tranquillement, nous permettons de dire qu’il s’agit d’une grave atteinte à la santé. Et ce n’est pas seulement nous qui le disons. Une centaine de médecins appellent depuis longtemps à la prudence en signant sciemment une pétition. La même pétition à laquelle la maire a répondu en disant qu’elle ne pouvait rien faire. Maintenant qu’il y a une prise de conscience et une confrontation avec la réalité, il est triste de devoir constater que les citoyens doivent recourir à la justice pour rappeler aux administrateurs qu’au-delà des règles, des procédures et des autorisations, on peut toujours activer le cerveau et le cœur. Si vous aimez vraiment notre ville.

Tommaso Di Renzo. Ninni Inchingolo et Dino Leonetti

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