Giampiero Gualandi, l’agent de la circulation bolognaise accusé du meurtre de sa collègue Sofia Stefani

Giampiero Gualandi, c’est le nom de l’agent de la circulation qui, hier après-midi, au siège de la police locale d’Anzola Emilia, dans la province de Bologne, a tué…

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Giampiero Gualandi, c’est le nom de l’agent de la circulation qui a tué hier après-midi sa collègue Sofia Stefani au siège de la police locale à Anzola Emilia, dans la province de Bologne. Selon les premières reconstitutions, l’homme, âgé de soixante-deux ans, entretenait depuis un certain temps une relation extraconjugale avec la femme qu’il avait rencontrée au travail.

Sofia Stefani et son collègue Giampiero Gualandi arrêtés pour homicide volontaire. Les raisons frivoles sont contestées

Giampiero Gualandi, qui est-il ?

Né en 1961, marié, père de deux enfants, diplômé en droit et vie en uniforme. C’est le portrait de Giampiero Gualandi, l’agent de la circulation arrêté pour homicide volontaire après la mort de son ancienne collègue Sofia Stefani. Actuellement en service dans la caserne Anzola dell’Emilia, Gualandi a travaillé dans la police municipale de la municipalité de Monterenzio, puis a occupé divers postes importants également dans celle de San Giovanni in Persiceto et dans celle de l’Union des municipalités de Terre d’Acqua. . L’homme de 62 ans est revenu à Anzola en 2020, après quelques ennuis judiciaires pour diffamation présumée contre le maire Giampiero Veronesi. Des troubles qui ont suivi ceux de son prédécesseur à la tête du commandement d’Anzola, Mauro Querzè, qui en 2001 l’avait dénoncé pour harcèlement moral et avait obtenu gain de cause.

Les insultes envers le maire d’Anzola

En 2015, Giampiero Gualandi a été poursuivi pour diffamation par le maire d’Anzona Giampiero Veronesi. La base de tout était la création de plusieurs faux profils sur Facebook avec lesquels il le dénigrait. Un fait qui a conduit à l’inculpation pour diffamation aggravée, usurpation d’identité et poursuite du délit, mais qui s’est ensuite soldé par un acquittement en raison de l’impossibilité d’établir si l’ordinateur à partir duquel les commentaires contre le premier citoyen a été utilisé uniquement par Gualandi ou aussi par d’autres personnes. Au moins trois faux profils ont été créés selon la reconstitution de la police postale.

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