Les hommes-rats, de Timothée Chalamet à Ghali qui sont les artistes « victimes » de la nouvelle tendance. Mais il y a ceux qui argumentent : c’est du bodyshaming

Les hommes-rats, de Timothée Chalamet à Ghali qui sont les artistes « victimes » de la nouvelle tendance. Mais il y a ceux qui argumentent : c’est du bodyshaming
Les hommes-rats, de Timothée Chalamet à Ghali qui sont les artistes « victimes » de la nouvelle tendance. Mais il y a ceux qui argumentent : c’est du bodyshaming

Nez et oreilles prononcés, traits anguleux, corps mince et grand et bouche en forme de « cœur ». Ce sont les caractéristiques de ce qu’on appelle «homme rongeur», c’est-à-dire «homme souris», qui selon les réseaux sociaux et divers magazines étrangers sont les nouvelles icônes de beauté. La tendance est née sur les réseaux sociaux en 2023, mais est revenue sur les mobil-homes après la publication de la vidéo Emily Ratajkowskioù il vante le courage des « hommes rongeurs » et souligne le manque d’hommes de qualité mesurant plus de 1,80 m.

La vidéo du modèle a suscité une discussion animée dans les commentaires, où de nombreuses personnes ont souligné comment, à leur avis, qualifier les acteurs de “homme rongeur”. Timothée Chalamet et considérons des chanteurs comme Ghali est en réalité une forme de honte corporelle.

Le phénomène

Timothée Chalamet, Josh O’Connor, Jeremy Allen White et Ghali ne sont que quelques exemples rapportés par les tabloïds américains d’artistes qui ressemblent aux caractéristiques des « hommes-rats ». Ils ne sont pas considérés comme des sex-symbols uniquement pour leur apparence physique, mais aussi pour leur caractère. Selon la tendance, les hommes qui ressemblent à des souris sont un peu « étranges » et drôles. Des caractéristiques qui, selon les célébrités et les magazines à potins, attireraient les femmes.

«C’est du bodyshaming»

Cependant, tout le monde ne semble pas être d’accord avec les caractéristiques de cette « dernière mode ». Certains utilisateurs ont souhaité partager leur avis suite à l’analyse publiée sur Instagram par Thats Fab, expliquant que juger ainsi les artistes ne serait pas en réalité un compliment, mais plutôt un “bodyshaming”.

Certaines filles ont écrit : « Nous sommes les premières victimes du bodyshaming et il est temps d’y mettre un terme. Même quand il s’agit d’hommes. Les gens ne devraient pas se sentir jugés de cette façon. » D’autres femmes ont cependant commenté : « Nous faisons du body shaming pour tout. Nous critiquons les gens pour tout. Il est temps de le dire assez, cette tendance est malsaine. »

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