“Je ne suis pas paresseux. Après l’exclusion de mars, je suis allé chez le psychologue…”

“Je ne suis pas paresseux. Après l’exclusion de mars, je suis allé chez le psychologue…”
“Je ne suis pas paresseux. Après l’exclusion de mars, je suis allé chez le psychologue…”

L’attaquant de l’Atalanta et de l’équipe nationale Gianluca Scamacca il s’est exprimé ainsi lors de la conférence de presse depuis l’Allemagne : “”Nous sommes un groupe jeune, un nouveau cycle a commencé et il a fallu du temps pour faire ressortir nos forces. Nous sommes prêts et notre force ressortira dans ce Championnat d’Europe. Je vais bien, j’espère aider l’équipe du mieux que je peux et aller le plus loin possible.”

Avez-vous une référence 9?
“Je voudrais imiter le groupe 2021 qui a remporté le Championnat d’Europe et le groupe 2006 qui a remporté la Coupe du Monde, ils ont laissé une marque et je voudrais aussi laisser une marque dans l’histoire de l’équipe nationale.”

Que craignez-vous à propos de l’Albanie ?
“Ce sera un match difficile, à ce stade tous les matches sont difficiles, voici les équipes qui méritent d’être au Championnat d’Europe. Mais l’Italie devra se concentrer avant tout sur elle-même et donner le meilleur d’elle-même dans ce match.”

Pensez-vous pouvoir être l’homme de ce Championnat d’Europe ?
“C’est un moment important pour nous, pour ma carrière. J’y arrive après une bonne fin de saison et j’espère apporter de la positivité et des objectifs après ce que j’ai appris cette année.”

Avez-vous envie de penser à Gasperini ? Qu’est-ce que cela vous a apporté ?
“Si je suis autant là, c’est grâce à lui. Cette année, il m’a aidé et a réussi à trouver les bons accords pour me faire cliquer, je lui dois beaucoup.”

Vous vous sentez un peu paresseux ?
“Je ne sais pas. Depuis que je suis arrivé ici, cela veut dire que je ne suis pas paresseux.”

Spalletti l’a dit…
“Il a peut-être envie de dire beaucoup de choses derrière ce seul mot, il m’a certainement encouragé et stimulé et c’est bien, mais personnellement, je ne me sens pas paresseux.”

Quand avez-vous réalisé que vous pourriez être l’avant-centre de l’Italie ?
“Je suis l’un des avant-centres italiens, je suis heureux de faire partie de ce groupe et de vivre cette merveilleuse expérience.”

Ressentez-vous de la pression ? Dans quelle mesure la victoire en Ligue Europa vous a-t-elle fait prendre conscience ?
“L’année dernière ne s’est pas bien passée à cause de la rupture du ménisque, même si c’était une année magnifique, nous avons remporté une Coupe que l’Atalanta n’avait jamais gagnée. Les joueurs forts ont la pression, si c’est le cas je peux dire que c’est aussi C’est bien d’avoir de la pression, chaque jour est un défi.”

Aimez-vous les passes décisives plus que les buts ? Spalletti avait-il raison de ne pas vous emmener aux USA ?
“Le manque de malice est une phrase que j’entends souvent, mais j’essaie juste d’être utile à l’équipe, puis il y a des matchs dans lesquels tu as plus d’espace et d’autres dans lesquels tu en as moins. Le plus important c’est de gagner, alors qui les scores comptent peu. Oui, oui, il a très bien fait, je ne méritais pas cet appel et il a eu raison de ne pas m’appeler.

Comment imaginez-vous vos débuts contre l’Albanie ?
“Je l’imagine et je rêve qu’il gagne. J’espère juste commencer du bon pied et avec une victoire.”

Comment se déroulent les entraînements avec Djimsiti ?
“C’est un bon défenseur, il est dur et physique. C’est un bon joueur.”

Est-ce que jouer dans cette Italie vous aide ? Jouez-vous comme l’Atalante ?
“Non, à l’Atalanta, nous jouons en face à face et c’est un football un peu plus tactique. Mais je me sens bien dans les deux manières de jouer, Spalletti a des idées qui me conviennent parfaitement, il joue beaucoup de mouvement et de possession du ballon, Moi, je trouve ça très bien.”

Est-ce votre trident de rêve avec Frattesi et Pellegrini ? Quel effet cela vous fait-il d’avoir trouvé autant de fans romains ?
“Tout le monde est en équipe nationale et je joue pour l’Atalanta, pas pour la Roma. Le plus important est l’envie de ramener le résultat.”

Que s’est-il passé dans votre tête ces trois derniers mois ?
“Je ne sais pas si on l’écrit dans les journaux mais j’ai eu quelques blessures. Si tu ne vas pas bien, comment peux-tu jouer avec Gasperini et dans le football en général ? Au cours des trois derniers mois, je suis revenu jouer continuellement et puis ça s’est passé comme ça s’est passé.

Que doit faire l’avant-centre avec Spalletti ?
“Il doit aider l’équipe à presser, il doit diriger le pressing et limiter les espaces à l’intérieur. Avec le ballon, l’entraîneur devant nous laisse assez libre, à l’exception de quelques indications puis à nous de nous retrouver.”

Ne pas avoir été convoqué aux États-Unis vous a-t-il été utile ?
“Oui, oui, ça m’a vraiment aidé. Je suis allé chez le psychologue (rires, ndlr)…”

Totti vous a-t-il dit quelque chose de particulier le jour des « 10 Fantastiques » à Coverciano ?
“Tu es plus grand en personne, c’est tout…”

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