Velasco retourne les aiguilles bleues. FIVB Et Volleyballworld quelle gestion kamikaze ! – Volleyball.it

Velasco retourne les aiguilles bleues. FIVB Et Volleyballworld quelle gestion kamikaze ! – Volleyball.it
Velasco retourne les aiguilles bleues. FIVB Et Volleyballworld quelle gestion kamikaze ! – Volleyball.it

De Luca Muzzioli

Une grande beautéItalie celui examiné au travail à Bangkok, deux ans après Ankara. L’avènement de Julio Velasco il a remonté le temps de cette équipe de deux ans, jusqu’en 2022, la dernière vraie année de Mazzantiana mémoire, avec l’or au VNL après l’or européen l’année précédente. Deux ans de retard avec encore deux années d’expérience, tant technique qu’humaine.

Ce VNLmais surtout les visages et les attitudes publiques à la portée de ceux qui ne font pas partie de la dynamique privée du groupe, conduisent à penser que 2023 a été une parenthèse, un moment confus d’obscurcissement, qui a conduit à un nécessaire changement de bâton pour arriver à ça.

C’était beau, beau, l’équipe italienne qui a remporté la VNL ce week-end, a récolté 5 prix individuels et, surtout, a montré un jeu d’une rare efficacité, distribuant des sourires et transmettant l’idée d’un environnement positif.

Cela dit, pour ne pas faire de bulletins, je dirai simplement que ce Velasco semble être celui qu’il a connu à ses premiers pas. Bon pour inspirer confiance même aux deuxièmes lignes, qui sont ensuite capables d’émerger en cas de besoin. Bon pour clarifier et, plus particulièrement, pour tirer le meilleur parti de ce dont il dispose.

Après avoir remporté la VNL, peut-être le résultat le moins imaginable par rapport à une qualification olympique que, de toute façon, le classement laissé par Mazzanti garantissait déjà, cette Italie de marque Velasco est désormais candidate à refaire ce en quoi ces filles nous avaient fait croire : le opportunité de se battre et de jouer pour de plus grands objectifs. Soyons clairs, en respectant une des règles du sport qui ne traduit pas la possibilité de jouer pour des médailles en médailles. Il y a aussi des adversaires, capables de jouer avec une intensité élevée, voire multiple, car la période des longs cycles de domination de quelques équipes nationales est terminée depuis longtemps.

Profitons du moment présent et attendons Paris 2024.

LE MONDE DE LA FIVB ET DU VOLLEYBALL, MAIS QUI EN COMMANDE ?

Dans tout cela, la plus grande compétition du volley-ball vient du volley-ball lui-même…

Dans le jour de la finale de la Ligue des Nations de Volleyball fémininavec la liesse italienne, la polonaise qui a fêté avec joie la troisième place, mais aussi la satisfaction du Japon qui est pourtant arrivé sur le podium du tournoi pour la première fois de l’histoire, le jour où une fédération mondiale peut célébrer une bâtiment complet et fais-le immortaliser podium de son top management lors de la cérémonie de remise des prix, tout va mal car le même jour, la FIVB programme elle-même le dernier tour préliminaire de la même épreuve masculine. UN concomitance ce qui signifie que les projecteurs projetés sur le podium féminin dans l’après-midi doivent être immédiatement déplacés pour poursuivre la dernière phase de qualification olympique, dans laquelle hier encore la victoire s’est décidée qualifié douzième (Serbie)le classement de classement qui définit les tranches du tirage au sort olympique et, enfin et surtout, le tableau d’affichage Huit final du VNL de Lodz.

C’est le FIVB, le Federvolley mondial prodigue ses auto-célébrations, mais néglige de gâcher la célébration de ses propres équipes, de ses propres messes. Italie, Pologne, Japon, Brésil : les yeux tournés vers Bangkok, les yeux vers Ljubljana et Manille…

Il s’agit du volley-ball, un sport géré d’une manière qui est tout sauf efficace car c’est le volley-ball lui-même qui enlève de l’espace et de l’attention au volley-ball.

Cela n’a pas aidé un excellent gestionnaire pour programmer la finale féminine samedi et quitter l’épilogue masculin dimanche…

Depuis des années, nous nous demandons pourquoi la qualité du sommet mondial n’est pas égale à la qualité des athlètes, des techniciens, etc. Nous n’avons toujours pas trouvé de réponse, mais, hier aussi, des confirmations.

FIVB, Monde du volley-ball… celui qui est aux commandes a besoin d’un signal d’alarme.

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