Nous sommes aujourd’hui le mercredi 1er mai 2024. Nous sommes au 122ème jour de l’année et il reste 244 jours avant la fin de l’année 2024.
À Trapani, le soleil se lève à 6h13 et se couche à 20h01.
La lune est décroissante et est éclairée à 50 %.
Saint du jour: Saint Joseph Ouvrier, forgeron, charpentier et charpentier ainsi qu’époux de Marie et père sur terre de Jésus Il est défini comme « le Juste » pour son respect de la Loi. C’était un grand ouvrier, dédié à des tâches plus manuelles comme la menuiserie. D’où son attribution de protecteur des travailleurs.
Proverbe sicilien: “Lu travagghiu fait le truc» se traduit par « Le travail fait les choses ». Cela signifie que le travail est ce qui mène à l’épanouissement et au succès, soulignant l’importance et la valeur du travail pour produire des résultats concrets.
Aphorisme du jour: “En mai tu fais ce que tu veux» – Cet aphorisme suggère que le mois de mai est une période de liberté et de plaisir, une période pour profiter de la vie après un dur labeur.
Né aujourd’hui: Leonardo Bonucci, footballeur, est né le 1er mai 1987.
Curiosité: Le 1er mai est la Fête du Travail, une journée internationale célébrée pour honorer les réalisations des travailleurs dans le domaine des droits du travail. Elle est célébrée en mémoire des luttes syndicales pour obtenir de meilleures conditions de travail, comme la journée de travail de huit heures et d’autres règles qui protègent les travailleurs. Cette fête commémore également l’événement historique de 1886, lorsque les travailleurs de Chicago se sont mis en grève pour exiger le huitième jour ouvrable et ont été brutalement réprimés par la police.
C’est arrivé aujourd’hui: Dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale, des milliers d’Allemands se sont suicidés, terrifiés par l’avancée de l’Armée rouge. Le cas le plus frappant est celui de la ville de Demmin, où, le 1er mai 1945, un millier de personnes se sont suicidées. Au même moment, au Führerbunker de Berlin, la Première Dame du Reich s’apprêtait à faire la même chose. Dans sa dernière lettre glaçante à son fils aîné, prisonnier de guerre en Afrique du Sud, Magda Goebbels (photo) explique : « Notre glorieux idéal est tombé en ruine et avec lui tout ce que j’ai connu de beau et de merveilleux dans ma vie. Le monde qui viendra après le Führer et le national-socialisme ne vaut plus la peine d’être vécu et c’est pourquoi j’emmènerai les enfants avec moi, car ils sont trop bons pour la vie qui les attend et un Dieu miséricordieux me comprendra lorsque je donnerai leur salut.” Il a donné de la morphine à ses six enfants et les a tués les uns après les autres avec du cyanure. Puis elle remonte à la surface avec son mari et tous deux s’entretuent dans le jardin de la Chancellerie.
