Marc Marquez en bref : “J’ai pensé à prendre ma retraite, à Gresini, ils doivent me dire quand je me trompe, mon frère doit me dépasser…” – MOW

Marc Marquez en bref : “J’ai pensé à prendre ma retraite, à Gresini, ils doivent me dire quand je me trompe, mon frère doit me dépasser…” – MOW
Marc Marquez en bref : “J’ai pensé à prendre ma retraite, à Gresini, ils doivent me dire quand je me trompe, mon frère doit me dépasser…” – MOW

Après la superbe deuxième place à Jerez, Marc Marquez a été interviewé en compagnie de Carlos Sainz pour un événement promotionnel pour Audi Espagne. L’octuple champion du monde a parlé de manière plutôt décisive du MotoGP d’aujourd’hui (« Si les ingénieurs ne sont pas arrêtés, ils continueront à se développer »), de la relation avec son frère et coéquipier Alex, de ce qu’il aimerait entendre : “Je ne pense pas qu’ils doivent avoir trop de respect pour moi…”

C’est un Marc Márquez Que Gigi Dall’Igna a défini ce qu’il considérait comme un « échantillon redécouvert ». Xérès de la Frontera Le weekend dernier. Pole position samedi matin, chute en tête de la Sprint Race l’après-midi, belle deuxième position dimanche, après une bataille avec Pecco Bagnaia qui restera dans les annales. Une course si brillante et en crescendo que Marc, devant les siens, la célébrait presque comme s’il s’agissait d’une victoire. Il y a au moins trois éléments qui font actuellement sourire le #93 plus qu’on pourrait l’imaginer : il semble avoir une bonne marge de progression avec la Desmosedici GP23 (il a trouvé à Austin un réglage de base qui lui permet d’exprimer pleinement son style de pilotage ), en harmonie avec le L’équipe Grésini et avec le nouveau chef d’équipe, cela ne fait qu’augmenter (ici nous avons parlé de la fête dans le garage bleu et des échanges d’opinions sur des questions techniques entre Marquez et Frankie Carchedi) et – surtout – il n’est pas du tout loin du sommet du classement. classement, actuellement entre les mains de Jorge Martin. Marc, malgré trois chutes en huit courses, est sixième du championnat, à seulement trente-deux points de son compatriote. “Pas mal vu notre début merdique” – Márquez lui-même a déclaré à son entourage, agréablement surpris, au milieu des rires généraux dans le parc fermé de Jerez.

Nonau cours de cette semaine, juste avant Carlos Sainz parti pour le Grand Prix de Formule 1 de Miami et portait pour l’occasion un survêtement bleu clair (la teinte est légèrement différente de celle que Márquez porte avec Gresini), Audi Espagne a organisé un événement promotionnel réunissant ces deux personnalités plutôt influentes et résolument soutenues (non uniquement à domicile) par le public des deux et quatre roues. 93, interviewé, a parlé avec une grande satisfaction des premiers mois passés dans l’équipe Gresini après onze années de Hondade l’ambiance qui règne dans le garage de Faenza, de ce qu’il aimerait entendre de ses collaborateurs, de ce qu’il n’a pas l’intention d’accorder à son frère – et coéquipier – Alex : “Après onze saisons en HRC, ce n’est pas facile de brisez quelques vices de votre tête et il faut revenir un peu à l’essentiel avec le guide, revenir en arrière et essayer de comprendre ce dont vous avez besoin pour aller vite. Je suis venu ici à Gresini pour apporter ma contribution, mais je veux évidemment qu’on me dise quand je me trompe, pas pour éviter de signaler certaines erreurs par trop de respect.. Si, par exemple, je dois entrer plus vite dans un virage ou si je fais quelque chose de mal, je veux qu’ils me le disent. Le MotoGP d’aujourd’hui ? C’est très agréable de rouler avec l’aérodynamisme en MotoGP car la moto est plus rapide, très stable, mais du point de vue des fans, pas autant. Suivre une moto génère des problèmes d’échauffement des pneus, de pressions élevées et on ne freine pas de la même manière. Ce sont des aspects qui influencent le spectacle, mais le développement continue. Si vous ne les arrêtez pas, les ingénieurs continuent de chercher des solutions. Le défi avec Alex comme coéquipier ? Au Qatar, ils m’ont marqué sur le tableau d’affichage que je l’avais de deux dixièmes mais il doit donner sa vie pour me dépasser (rires)“. Enfin Marc est revenu sur le moment le plus délicat de sa carrière où, après la fracture de l’humérus à Jerez 2020 et l’épreuve consécutive des quatre opérations au bras droit, il a aussi pensé à retraite : “Oui, j’y ai pensémais chaque fois que je revenais d’une blessure, je voulais faire de la moto et je ne pouvais pas imaginer une vie sans moto, sans adrénaline.”

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