fermé un jour, immédiatement régularisé

fermé un jour, immédiatement régularisé
fermé un jour, immédiatement régularisé

SENIGALLIA – Fermeture pour une seule journée d’un restaurant en bord de mer, arrêté par la police financière avec trois travailleurs illégaux. C’est juste le dernier d’une longue et…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

ACTIVER MAINTENANT

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

SENIGALLIA – Fermeture d’un seul jour pour un restaurant en bord de mer, arrêté par la police financière avec trois travailleurs illégaux. Ce n’est que le dernier d’une longue et constante série de contrôles effectués par les financiers de Senigallia Tenenza. Au cours des quatre premiers mois de l’année, ils ont sanctionné trois activités, les suspendant temporairement, en raison de la présence de 17 travailleurs, dont 4 étaient illégaux, tandis que les 13 restants étaient légalement à temps partiel mais travaillaient en réalité à plein temps, recevoir le supplément en espèces, puis en noir.

L’alerte rouge

Phénomène signalé hier par la CISL, suite aux rapports reçus de ses adhérents. Les contrôles sont là, comme le démontre l’intense activité menée par la Fiamme Gialle. La dernière inspection, réalisée en avril, concernait un restaurant en bord de mer où trois travailleurs sans contrat avaient été interpellés. Le propriétaire a été sanctionné et la Police Financière a ordonné la fermeture. Cela n’a duré qu’une journée et la plupart des gens ne l’ont même pas remarqué. Dans ces cas, le propriétaire peut rouvrir dès que la situation des travailleurs a été régularisée et que l’amende a été payée. En 24 heures, il a tout fait. Dans un restaurant appartenant à un citoyen chinois, 12 employés ont été contrôlés. Parmi eux, 11 avaient été mis en conformité avec un travail à temps partiel rémunéré en espèces et non versé sur le compte courant. En plus du salaire convenu, ils ont reçu environ 500 euros supplémentaires, non déclarés, toujours en espèces. Enfin, un autre travailleur n’avait pas été engagé et a donc été payé de manière totalement illégale. Il y a ensuite le cas d’un camping qui s’est retrouvé sous la loupe de la Guardia di Finanza déjà à la fin de la dernière saison touristique, sanctionnée en janvier. Les financiers ont découvert ici trois travailleurs totalement illégaux. Ils recevaient environ 1 100 euros par mois en espèces et ne bénéficiaient pas non plus de repos hebdomadaire.

C’est ce qui est ressorti au premier trimestre de l’année qui vient de s’achever. Les contrôles se poursuivent et s’intensifieront pendant la saison estivale, pour vérifier que les travailleurs saisonniers sont également régulièrement engagés et travaillent effectivement pendant les heures convenues sans suppléments payés au noir, comme le dénonce la CISL. Souvent, les travailleurs ne veulent pas que leur employeur soit dénoncé, craignant de perdre leur emploi, même précaire, pour la saison suivante. Mais les syndicats peuvent aussi simplement les signaler aux organismes chargés du contrôle, comme la Guardia di Finanza mais pas seulement, pour faciliter les enquêtes qui sont quand même menées. Il serait utile de les orienter immédiatement vers ceux qui, en contournant les lois, ne respectent pas le personnel et créent une concurrence déloyale envers la majorité des employeurs qui, au contraire, se comportent correctement.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Courrier Adriatique

PREV Un camion-citerne a explosé à la pompe à essence de Salaria, le témoin : “Colasanti aurait pu se sauver”
NEXT La Lazio de Tudor gagne contre Empoli. Naples fait arithmétiquement ses adieux à la Ligue Europa