Santé
de Marzio Bartoloni
La prévision des nouvelles lignes directrices du Ministère de la Santé récemment publiées dans la Revue qui clarifient certains points de la loi 40/2004
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Après la fécondation assistée de l’ovule, le consentement à la procréation médicalement assistée ne peut plus être révoqué et la femme peut donc demander l’implantation de l’embryon même si son partenaire est décédé ou si leur relation a pris fin. C’est l’une des prédictions les plus importantes nouvelles directives du ministère de la Santé vient de paraître au Journal qui clarifient certains points de la loi 40/2004 notamment après les arrêts de la Cour Constitutionnelle en 2023 et de la Cassation en 2019.
En effet, les lignes directrices du ministère de la Santé contenant des indications sur les procédures et techniques de procréation médicalement assistée viennent d’être publiées au Journal officiel. Il s’agit d’une mise à jour des lignes directrices précédentes qui remplace l’arrêté ministériel de 2015, « également afin d’adapter son contenu aux arrêts de la Cour Constitutionnelle » et « en tenant compte des résultats de la table technique de recherche et de formation en matière de prévention ». et du traitement de l’infertilité, ainsi que la table technique d’analyse approfondie des questions relatives à la procréation médicalement assistée (PMA) mise en place au Cabinet du Ministère de la Santé”. En particulier l’arrêt de la Consulta (161/2023) a rejeté “les questions de légitimité constitutionnelle soulevées par le tribunal de Rome concernant la révocation du consentement donné à la PMA”, notamment en cas de séparation ou de décès du partenaire masculin.
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Marzio Bartoloni
chef de service adjoint
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