PESARO La longue vague des inondations qui a frappé la région des Marches il y a exactement un an et l’Émilie-Romagne un an plus tard. Comme tout le monde s’en souvient, le 16 mai…
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En attente
En effet, les entreprises artisanales et de services mais aussi certaines familles attendent des nouvelles de la Région et des services compétents car les véritables remboursements des dégâts réels ne sont pas encore arrivés, alors qu’ils auraient dû être la priorité dans les actions post-inondations. En pratique, les voix de certaines activités économiques, qui se sont entre-temps tournées vers les associations professionnelles, nous informent que la rencontre entre les associations et organismes avec la direction régionale compétente a été reportée d’un mois. Voici les témoignages de ceux qui attendent encore.
Il s’agit d’Andrea et Barbara d’Edilpieffe, une entreprise de matériaux de construction située Via dell’Acquabona, entre Vismara et Strada Fornace Mancini. Après le débordement des fossés voisins, une quantité d’eau et de boue jamais vue auparavant s’est abattue sur l’entrepôt et la grande place extérieure. Dommages de 150 mille euros. «Un an plus tard, nous avons réussi à couvrir peu même avec notre assurance – soulignent-ils – car jusqu’à présent aucune contribution n’est arrivée du service régional qui a répondu à la demande d’indemnisation des dommages, après l’état d’urgence reconnu par le gouvernement. . C’est comme si dans la Région, ces pratiques comme la nôtre et bien d’autres étaient mises en veille alors qu’elles devraient plutôt être la priorité. Entre-temps, nous nous sommes appuyés sur le Cna pour les procédures et pratiques et notre consultant a signalé qu’il attendait la convocation d’une nouvelle réunion technique opérationnelle sur les remboursements. La dernière date de début mars, mais la Région semble ne rien faire d’autre que la reporter.
Le remède
« Après des mois, nous avons réussi à couvrir une partie de nos frais de subsistance avec notre assurance mais le gros n’a pas été fait et c’est pourquoi nous avons besoin de rapidité et de réponses de la Région. Par exemple, nous avons été obligés de racheter l’intégralité de notre parc de PC car le serveur était fortement endommagé par la boue mais aussi plusieurs chariots élévateurs, machines à teinter et ponts-bascules dans la cour extérieure.” Celui qui pense que les contributions n’arriveront pas avant 2025 est le propriétaire de la Legatoria Adriatica, via Metauro à Vismara. «À ce jour, le propriétaire Massimiliano Bernardi intervient – nous n’avons reçu qu’un remboursement d’assurance de 45 mille euros, en attendant nous nous occupons de la demande de remboursement des dommages de la Région conformément au décret, et dans l’espoir d’obtenir 40 mille euros qui est la limite maximale (le montant de nos dommages, uniquement pour les frais de restauration des machines et des installations, a cependant atteint un total de 120 mille euros). Ce qui me laisse cependant perplexe, c’est que sans canal d’information ou de connaissance préférentiel, malheureusement dans les bureaux régionaux compétents personne ne répond ou n’est en mesure de donner certaines heures. Ainsi, en mars dernier, grâce à un de mes contacts dans la Région, j’ai été informé qu’on venait de clôturer les procédures de remboursement des inondations de 2022. C’est pourquoi si les fonds arriveront, je ne pense pas avant 2025. C’est loin d’être facile. pour remplir les demandes si elles ne sont pas suivies étape par étape. Par exemple, chaque demande doit être accompagnée d’une expertise avec factures assermentées par un juge et ce n’est qu’ensuite qu’un contrôle par l’expert régional en assurances suivra. Bref, des procédures qui sont, malgré nous, lourdes. »
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Courrier Adriatique