#Comunali2024, hier le comparatif à Semi di Pace : le résumé et la vidéo complète

Débat entre candidats à la mairie, hier après-midi, à la Cittadella di Semi di Pace, qui a accueilli un événement très attendu de la campagne électorale qui a placé côte à côte quatre des cinq candidats à la fonction : pendant quelques jours, en effet, On avait appris l’absence d’Alessandro Giulivi, annoncée par communiqué.

Les intervenants étaient ensuite Renato Bacciardi, Gianni Moscherini, Francesco Sposetti et Martina Tosoni (l’ordre dans ce cas est strictement alphabétique), modérés par la journaliste Chiara Rinaldini : le président de Semi di Pace, Luca Bondi, a introduit et clôturé la soirée, qui surtout à la fin il y a eu des propos très durs contre Giulivi, avant de faire signer aux quatre représentants présents un document d’engagement en cas de victoire aux urnes.

En termes de nouveautés, la comparaison n’apporte pas grand-chose de plus que ce que, dans les programmes, Bacciardi, Sposetti et Tosoni avaient déjà décrit chacun dans leurs conférences de presse : première sortie en campagne électorale de Moscherini, qui a cependant relancé des thèmes déjà proposés dans le deux précédentes courses à la mairie, toutes deux bloquées au second tour.

L’ordre des interventions a vu débuter Bacciardi, qui a réitéré l’intention d’un nouveau centre scolaire – déjà proposé lors de la présentation de la liste -, d’une lutte environnementale contre la pollution, de l’air et des mers et rivières, de la modification des PAI qui bloque l’urbanisme de la ville et des mesures d’ouverture et de dialogue avec le citoyen. « Tarquinia ressemble désormais davantage à un héritage de Nunesco ! – sa plaisanterie sur le thème actuel du centre historique – je trouve honteux que même les citoyens de Tarquinia ne sortent plus dans les rues du centre : il faut le rendre plus accueillant et captivant ».

Gianni Moscherini a ensuite résumé son lien avec Tarquinia – où il vivait lorsqu’il était maire de Civitavecchia – et a relancé un refrain de ses campagnes, en parlant des 23 kilomètres de plages. Parmi les propositions figurent celles de deux maisons de vacances pour personnes âgées, une en bord de mer et une dans la zone vallonnée, une installation maritime pour handicapés d’importance nationale et une collaboration avec des armateurs pour expédier des produits frais de la campagne tarquinienne. « Vous voulez changer la réalité de Tarquinia en touchant à ce qui n’a jamais été touché : – l’un des passages les plus incisifs – pourquoi l’usine de tomates est-elle fermée ? Construisons une conserverie, comme dans la région de Grosseto, pour donner du travail aux jeunes. » Puis un “beat” à Giulivi, accusé d’avoir “copié” le port touristique des précédents programmes électoraux de Moscarini.

Dans son discours, Sposetti a également suivi ce qui s’est dit ces derniers jours : relancer la ville à travers les trois piliers liés à la culture, au social et au territoire, une politique locale centrée sur le citoyen, la refonte de la ZTL et le travail pour modifier les tarifs agricoles dans la zone. « Nous souhaitons une concertation et un débat avec la société civile pour un parcours partagé et synthétique. Et la culture doit être un moteur du développement économique. »

Enfin Martina Tosoni, qui après une brève présentation d’elle-même d’un point de vue personnel, professionnel et politique : « J’ai soutenu beaucoup de choix de l’administration Giulivi, j’ai essayé de changer certains d’entre eux. Administrer n’est pas facile : on fait des erreurs, on s’améliore, on acquiert de l’expérience. Cette expérience a déformé ma façon de vivre la politique” – quelques lignes programmatiques : sociale, avec la proposition d’un centre de jour-ferme sociale pour enfants handicapés, formation, avec des universités et des formations, environnement et tourisme.

Les questions concernaient alors la Saline, la gestion des biens confisqués à la mafia et l’hôpital (ci-dessus la vidéo complète de l’événement) : une atmosphère détendue et peu, voire aucun, de rencontres personnelles en face-à-face. Gianni Moscherini était agité, souvent en conflit avec le modérateur qui l’appelait à rester sur les sujets du débat ou à respecter les délais fixés, et à plusieurs reprises controversé même avec l’absent Giulivi.

Jamais comme Luca Bondi, qui avec la même dureté d’une lettre ouverte publiée il y a quelques mois a durement attaqué le maire tant pour son absence et l’accusation de manque de démocratie que pour les engagements pris par le maire et jamais tenus dans le sens du association : c’est l’accusation de l’association, qui a proposé un texte programmatique similaire à celui élaboré il y a cinq ans et signé par les quatre présents. Un coup de grâce, la plume à la main, de Bacciardi qui, dès les salutations et après s’être engagé sur “trois résolutions immédiates pour résoudre le problème spatial de Semi di Pace”, a promis 50 000 euros en cas de victoire pour réaménager la structure abandonnée en le quartier de la Citadelle.

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