Une journée derrière la production télévisée du Giro d’Italia

Il y a un peu plus de trois ans, j’ai commencé à écrire le Premier article de ce qui deviendra plus tard une chronique hebdomadaire, Je n’aurais même pas parié un centime en fait, après un peu plus de 36 mois, j’aurais eu le possibilité De voir de mes propres yeux Le dans les coulisses d’une production télévisuelle qui m’a toujours eu fascinésoit par le nombre de personnes impliquées, soit, et surtout, par le fait qu’il vient monté et démonté tous les jours pendant trois semaines consécutives.

samedi 25 mai 2024 c’est un (autre) jour pour faire le tour avec le petit cercle rouge sur ma carte très personnelleune journée rendue possible Merci à l’invitation reçue d’Andrea Basso – responsable de la production TV et des droits médias de RCS Sport -, qui a également été le premier à m’accueillir en début de matinée à Bassano del Grappa.

Malgré la prêter maintenant et la journée était plus automnale que printanière, à mon arrivée Télévision composée tout était déjà câblé (depuis un certain temps) et Prêt pour transmettre le signal qui allait bientôt arriver sur les écrans de millions de personnes dans le monde, ce même complexe de télévision avec des dizaines de kilomètres de câbles qui avait été débranché quelques heures plus tôt à Sappada.

Beaucoup, beaucoup, je véhicules garés dans l’espace qui leur est réservé en bordure du Viale delle Fosse : le van UCI utilisé pour le VAR, les (nombreux) vans d’EMG, Boost Graphics, Discovery, Rai et autres.

Pendant que je marche avec Andrea – qui me parle de comment son travail quotidien est structuré (il faudrait un article pour expliquer non seulement cela, mais aussi l’intense activité organisationnelle menée depuis l’automne dernier…) -, interceptons Koen Van Mourik Et Autocollants Tjarcoles deux jeunes (mais avec beaucoup d’expérience déjà accumulée derrière eux) Professionnels néerlandais qu’ils ont été choisis pour prendre soin de la direction du signal du diffuseur hôtec’est-à-dire celui distribué ensuite aux différents diffuseurs détenant les droits de diffusion du Giro, qui ont alors la possibilité de l’intégrer au personnalisé.

Avec eux Je voyage plusieurs fois les derniers 500 derniers mètres de l’étape, car ils doivent identifier le points exacts où placer les dernières camérasc’est-à-dire les fixes qui couvrent la dernière partie du tronçon bouclé, en choisissant en même temps quelle optique les faire installer et, surtout, s’il faut les placer sur un support normal ou en position surélevée.

Malgré les contrôles effectués au cours des mois précédents, uniquement le jour de la course tu as leperception exacte de la taille du tronçon de route réservé aux cyclistes et comprendre comment gérer ce qui peut être, par exemple, certains obstacles ce qui “salerait” les images, les obligeant à être supprimées ou tournées, si possible, comme cela s’est produit en effet avec un panneau indiquant un passage pour piétons, placé sur un poteau à quelques mètres de l’endroit où la caméra aurait été positionnée sur le panier.

UN activité de développement minutieuse des derniers détails avant tous les jours Compte rendu dans la salle de contrôle où nous discutons et essayons d’analyser le développement et les différents enjeux critiques de l’étape qui va commencer.

Et donc j’ai la chance de monter à bord NOUVELLE 126le car régie HD multifonctionnel d’EMG (généralement utilisé pour la production des différentes étapes du Superbike), à ​​partir duquel le signal hôte est produit : ils sont assis au pupitre de commande Bruno Coudyzer (Directeur du développement commercial d’EMG CONNECTIVITY), à sa droite Autocollants Tjarco (directeur assistant), Koen Van Mourik (directeur), est devenu père de Pelle, le lendemain même de l’arrivée de Rome (meilleurs vœux!), et le mixeur vidéo.

Derrière eux, Andrea Basso et un délégué d’EMG, tandis que, de dos, 3 techniciens chargés de l’utilisation de l’EVS (c’est-à-dire l’outil utilisé pour produire les différentes rediffusions) en plus de ingénieur en chef et d’autres membres du personnel d’EMG ; dans la pièce voisine, je m’assois, cependant, je 3 équipes de contrôle de salle et dans une chambre privée, je ingénieurs du son.

Cependant, ceux qui s’occupent de graphiquecoordonnés par Antonello Grippo, travaillent dans quelques petites camionnettes, évidemment toujours reliées par interphone avec le camion principal.

Les images des deux arrivent déjà caméras placées au départ des étapes qui comprennent la signature de la feuille de signature par les coureurs et les instants précédant le positionnement des cyclistes au départ, et la diffusion en direct commence à 11h40à.

Koen est constamment soutenu par Tjarko qui lo les soutiens pour toutes les heures suivantes : est Koen qui demande aux différents opérateurs un particulierou un vision globaleaussi bien que ça appelle les soulevés de terre (puis ponctuellement créé par le mixeur vidéo), leentrée et sortie de graphiques (mis à disposition dans quelques instants par l’équipe dirigée par Antonello), dont l’entrée et la sortie ils sont gérés par Tjarko.

Tjarkode son côté, en plus d’assister Koen, a toujours les différents sous contrôle (plus d’une centaine pour chaque étape) PUIS à diffuser en journée ; à ses côtés cependant, Bruno Coordonne les différents véhicules de déménagement afin qu’ils soient le plus fonctionnels possible selon les besoins du directeur.

Tout cela vient réalisé naturellementsans solution de discontinuité, pendant environ sept heures d’affilée: milliers il y a les coupures et également les temps pendant lesquels un graphique entre puis sort.

En attendant, même si la diffusion en direct est déjà en cours, tu dois le tester de tournage à votre arrivée, possible grâce à un membre d’équipage qui parcourt les cent derniers mètres de la scène à vélo pour permettre au metteur en scène de affiner ce seront alors les écarts à réaliser à l’arrivée des coureurs.

Pendant ce temps, près de moi, d’autres professionnels ils travaillent en totalité anonymat (pour le grand public à domicile) : Andrépar exemple, trie les dizaines de messages qui arrivent par rapport à l’organisation de la scène, à la planification de la suivante, aux besoins particuliers exprimés par Koen, qui, par exemple, prévenir à l’avance quand il décide de diffuser la 2ème case, pour que il n’y a pas de chevauchement avec les 2 boitiers choisis par les différentes régies qui intègrent le signal.

Il y a les Opérateurs SVEsois prudent attraper tous les détails des images provenant des différentes caméras, à proposer comme rejouer à Koen et Tjarko, ainsi qu’à extrapoler divers clips qui servira ensuite à raconter le résumé de l’étape, qui sera diffusé une fois celle-ci terminée.

Il y a les techniciens de contrôle de salley compris également Vittorio Baldi (un ami de cette chronique ça, comment James Steineropérateur EVS, j’ai eu l’occasion de se rencontrer en personne), dont activité c’est, en vrai, semblable à celui de Sisypheayant, en effet, pendant toute la durée de la diffusion en direct, équilibrer les couleurs provenant des différentes caméras, en mouvementtout cela rendu plus difficile par conditions météorologiques particulières de la journée.

Et puis il y a les inattendu ce qui peut toujours se produire dans tant d’heures de diffusion en direct, comme, par exemple, un signal non optimal provenant de la caméra positionnée sur la nacelle pour le tournage de l’Intergiro, c’est-à-dire l’une des caméras d’arrivée qui jusqu’à quelques minutes avant Le passage du maillot Rosa faisait des crises de colère.

Ces événements inattendus qui nous devons essayer de le résoudre alors qu’en réalité, autre chose est en train de se faire…

Au fait, vous pourriez demander combien de caméras ont été utilisées dans l’étape Bassano :

8 fixés sur la ligne d’arrivée (dont 2 Super Slow Motion), 2 sur le podium (dont un commandé par Antonello Rennaun autre ami de cette chronique) et une action cam sur la ligne d’arrivée pour diffuser le replay d’une éventuelle photo finish.

Quels étaient les différences Qu’ai-je trouvé entre cette production et les autres auxquelles j’ai eu le plaisir de participer ?

Deux surtout :

-L’durée extrême d’engagement exigée des différents professionnels – d’ailleurs pour la réalisation d’une seule étape -, d’autant plus si l’on considère que ce que j’ai vu avec mes yeux il ne représentait qu’un petit segment d’une très longue ligne droite, qui a duré plus de trois semaines au cours desquelles nous avons eu peu de moments pour reprendre notre souffle, car les moments de repos sont généralement caractérisés par des transferts du lieu d’arrivée au lieu de départ, à de très rares exceptions près. Une expérience qui, je le confirme, est décidément intense ;

– la présence de professionnels de diverses nations, italiens, néerlandais, belges et anglais, qui n’ont eu aucune difficulté à travailler en utilisant, comme langue, l’anglaisc’est-à-dire pas la langue maternelle de chacun, ce qui ne peut que représenter un élément supplémentaire qui démontre la qualité incontestable de ceux qui ont fait partie du équipage composante d’une production télévisuelle aussi importante.

UN journée lequel est s’est littéralement envoléque j’ai essayé de résumer dans cet article, pour tenter de raconter ce que beaucoup ne peuvent qu’imaginer, conscients que j’ai été très chanceux avoir eu le possibilité participer pendant une journée à la production télévisuelle d’un événement de classe mondiale.

UN Mercidu coeur, annonce Andrea Bassopour l’invitation, et pour tout Personnel d’EMG Italie pour lehospitalité à bord du camion.

Restez à l’écoute!

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Wenner Gatta | Avocat et passionné par tous les types de sports depuis 1978, vu, bien sûr, depuis la position privilégiée de votre canapé à la maison. Depuis 2020 membre de l’association Nicolodiana et Salvadoriana telepcsportdipendenti. Sa devise est : “Pourquoi suivre un seul événement sportif, quand on peut en regarder plusieurs en même temps ?”. Depuis mars 2021, il anime chaque semaine la rubrique “Ultra Slow Mo” sur les pages de Sport In Media où il tente de raconter ce qu’on ne voit pas sur le sport à la télévision. Lors des Jeux Olympiques d’hiver de Pékin 2022, il a publié quotidiennement la chronique #undòujiāngdaPechino sur les pages de Sport in Media.

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