Dernier jour d’école, la fête avec des chansons, des rires et des jets de farine

« Le dernier jour d’école ? Cela a commencé calmement. Puis, dès que la cloche a sonné, quelqu’un a sorti la farine. Puis les œufs. Puis les fumigènes. Puis le vin mousseux. Puis les pétards. Puis les fusées éclairantes…”. C’est le milieu de la matinée et la ville se remplit de foules d’enfants, enfin libres, après neuf mois de cours. Et même si dans de nombreuses institutions, pour éviter le chaos, les professeurs ont opté pour une sortie échelonnée, l’explosion de joie était inévitable.

Les célébrations

Au Parc Santa Chiaratrois collégiens se sont offert une trompette de stade, et ils te font presque jouir un coup dur pour les passants plus âgés. Sur la Piazza Venezia, ici un jeune homme habillé en tyrannosaure: on l’a vu descendre via Grazioli, puis entrer dans un bar et demander à boire. «Allez chez Vinci», conseillent-ils, «vous verrez que la route est devenue complètement blanche». En effet, dès que l’on arrive via Madruzzo, on remarque immédiatement les restes d’une âpre bataille au cours de laquelle non pas du sang mais de la farine a été versée. Coquilles d’œufs. Verres cassés. Bouteilles vides. Rien que dans le parterre de fleurs au bout de la rue, il y a un Müller-Thurgau, un Pinot Chardonnay, deux Rocca dei Forti, voire un London dry gin. Les échos des événements de l’année dernière sont encore vivants à Da Vinci, lorsque le directeur, espérant étouffer les célébrations dans l’œuf, a proposé un “dernier jour chez papa”, avec pour résultat que les étudiants se sont rebellés et ont occupé l’institut. Cette fois, tout est plus calme. L’école est gardée par la police locale et la police d’État, mais il y aura une dizaine d’agents au total, et ils servent principalement à éviter les obstructions à la circulation. «Juste amusant” commente un policier municipal. Une jovialité qui est mieux représentée en traversant la route et en entrant dans l’Albère.

Chansons

La pelouse est pleine d’étudiants. Beaucoup se poursuivent avec paquets de farine, ou ils le retournent l’un sur l’autre, traîtreusement. Des groupes soudés entonnent à pleins poumons les chansons de l’époque de leurs parents. «Mais comme c’est agréable de se promener avec des ailes sous les pieds…». Quelqu’un pense à l’été. Quelqu’un d’autre obtiendra son diplôme cette année et, pour l’instant, n’a pas grand-chose à célébrer. Une fille souffre d’amour. Ses amis se mettent en quatre pour lui donner des conseils. Elle soupire : « C’est peut-être le destin que nos cœurs ne soient pas unis. Je resterai célibataire pour le reste de ma vie.”

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