« Les nouvelles parues aujourd’hui (hier – NDLR) sur le prétendu « placement familial facile » à Turin confirment ce que nous, Frères d’Italie, dénonçons depuis un certain temps, le système du « placement familial mineur », tel qu’il a fonctionné ces dernières années, cela ne peut pas continuer, c’est pourquoi je porterai l’affaire devant le Parlement”

« Les nouvelles parues aujourd’hui (hier – NDLR) sur le prétendu « placement familial facile » à Turin confirment ce que nous, Frères d’Italie, dénonçons depuis un certain temps, le système du « placement familial mineur », tel qu’il a fonctionné ces dernières années, cela ne peut pas continuer, c’est pourquoi je porterai l’affaire devant le Parlement”
« Les nouvelles parues aujourd’hui (hier – NDLR) sur le prétendu « placement familial facile » à Turin confirment ce que nous, Frères d’Italie, dénonçons depuis un certain temps, le système du « placement familial mineur », tel qu’il a fonctionné ces dernières années, cela ne peut pas continuer, c’est pourquoi je porterai l’affaire devant le Parlement”

« Les nouvelles parues aujourd’hui (hier – NDLR) sur le prétendu « placement familial facile » à Turin confirment ce que nous, Frères d’Italie, dénonçons depuis un certain temps, le système du « placement familial mineur », tel qu’il a fonctionné ces dernières années, cela ne peut pas continuer, c’est pourquoi je porterai l’affaire devant le Parlement”. Cela a été annoncé dans une note datée du 13 juin 2024 par la chef adjointe du groupe Fdi à la Chambre Augusta Montaruli.

Montaruli continue: « C’est déjà la commission d’enquête créée au sein du Conseil régional du Piémont, sur proposition de Fdi, au lendemain des événements de Bibbiano qui a jeté une lumière importante sur ce monde. Absence de règles claires, conflits d’intérêts possibles et, dans certains cas, approche idéologique incapable de réellement donner la priorité aux enfants. Aujourd’hui plus que jamais, il faut rappeler que, selon les données de la commission, seulement 14% des éloignements de mineurs ordonnés dans le passé dans la Région du Piémont étaient motivés par des soupçons de mauvais traitements et d’abus, les 86% restants résultaient essentiellement de modèles de systèmes éducatifs jugés « inadaptés » par les travailleurs sociaux et à des formules absolument vagues et discrétionnaires sur la base desquelles les services sociaux ont cependant demandé leur suppression aux autorités judiciaires ».

Montaruli a conclu: « Les investigations judiciaires semblent désormais éclaircir la véritable raison de certaines de ces anomalies, qui sont encore plus inquiétantes si l’on considère que dans le Piémont le coût du système de placement familial absorbe 12 millions par an des caisses publiques. C’est pour cette raison que nous irons jusqu’au bout. Aujourd’hui, j’écrirai à la Commission parlementaire de placement familial de la Chambre afin que l’affaire Turin soit approfondie et que les souhaits du parquet et de la Cour soient acceptés”.

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