Premier été 2024, premier jour : Jane est toujours addictive

Difficile d’imaginer un meilleur départ : le jour le plus rock du programme Le premier festival d’étéà l’ex Parc Bussola Domani de Lido di Camaiore (LU), a donné quatre performances toutes plus incroyables les unes que les autres.

C’était le tour de notre section locale mottaassisté d’un groupe dirigé par Giorgio Maria Condemi, Francesco Chimenti et Roberta Sammarelli, a ouvert le festival et l’a fait avec son écriture mélancolique, touchante et en même temps cinglante au bon moment, des chansons comme « Anime perse », plutôt que le Les désormais classiques “La fine dei vententa anni” ou “Rome ce soir” ont réchauffé le public et l’ont immédiatement mis dans l’ambiance d’une soirée éclair.

Après lui les caustiques Mods Sleaforddirectement de Nottingham, a apporté un souffle de post-punk : bruyant, tordu et pourtant très efficace comme seuls peuvent le faire Jason Williamson et le légendaire Andrew Fern (ordinateurs et ballets hors du temps comme lui seul peut le faire), un unique dans la musique du monde. scène.

A 21h, de véritables légendes de l’indie-rock américain apparaissent sur scène, je Dinosaure Jr Guidé par J Mascis: assez de bruit, du mosh pit sauvage et des chansons comme “Been There all the time”, “Feel the Pain” (ah la basse de Lou Barlow…) et un final dans lequel « Scènes anormales » on ne peut s’empêcher de chanter à pleins poumons, comme sur le suivant « Just like Heaven », une chanson de Cure qui fait désormais partie intégrante du répertoire de Dinosaur, dans sa version grandiloquente mais capable de maintenir le bon degré de mélancolie.

Tête d’affiche de la soirée, et rien ne sert de cacher qu’on était tous là pour eux, les mythiques La dépendance de Janeréunis dans la formation originale: le seul rendez-vous italien pour Perry Farrell et Dave Navarro et, disons-le tout de suite, attentes plus que respectées : le son est toujours celui qui a révolutionné la scène rock mondiale, équilibré entre moments sombres et dynamiques hard rock, avec la basse d’Eric Avery dictant la ligne et la guitare de Navarro qui est toujours celle des meilleurs jours, sinueuse et piquante, tandis que la voix de Farrell, bien que vieillie, a toujours ce timbre caractéristique, fin et obscène, sexy et triste.

Le reste est fait par une setlist dans laquelle il y a des morceaux comme « Whores », « Pigs in zen », un « Jane Says » d’époque (chanté par tout le parc, rempli de monde), « Ocean size » et « Three Days ». .
Et comme si cela ne suffisait pas, voici le rappel : “Mountain Song”, “Been Caught Steling” et “Chip Away” : le sentiment est avant tout que Farrell n’est pas satisfaita une grande envie de jouer et l’excellent vin qu’il a bu pendant le spectacle l’a suffisamment rafraîchi, réussissant à faire ressortir tout l’animal de scène qu’il a en lui. Une bonne première donc pour La Prima Estate 2024, certainement une soirée inoubliable pour les personnes présentes

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