Plus de 225 000 entreprises italiennes exposées à un risque élevé d’inondation

Plus de 225 000 entreprises italiennes exposées à un risque élevé d’inondation
Plus de 225 000 entreprises italiennes exposées à un risque élevé d’inondation

L’Italie est le pays européen le plus exposé à risques hydrogéologiques. Un triste classement dans lequel le Péninsule excelle même si l’on se limite à analyser les risque d’inondationcomme le souligne déjà une étude de Commission européenne et d’une recherche de Legambientequi a calculé 118 inondations sur le territoire italien en 2023. En outre, selon leIspra, près d’un citoyen sur trois vit dans des zones touchées par risque d’inondation. Ce problème affecte également le entreprises: Je suis plus de 225 mille unités commerciales locales dans les zones à haut risque d’inondation. Pour dire cela, sur la base des données du Plateforme Hydrogéo d’Ispra, est une élaboration Gea – Agence pour l’économie vertequi sera présenté le 19 juin 2024 lors de l’événement #FEM24organisé par le groupe éditorial Withub en collaboration avec Eunews, Gea et Fondazione Art.49.

Compte tenu du fait qu’il ne s’agit pas uniquement des sièges sociaux mais de tous les lieux d’activité économique, il apparaît donc que le la province la plus à risque est celle de Venise, avec 16 000 entreprises contraintes de faire face à la possibilité concrète d’inondations. L’ancien rival Gênes le suit de près, avec environ 15 000 entreprises en danger. Ils suivent provinces de Padoue (12 300), Rimini (9 300), Bologne et Rome (plus de 7 000).

Une autre donnée analysée par Withub est celle de concentration d’entreprises à risque par kilomètre carré, et ici la province de Gênes arrive en tête du classement, qui, avec 537 mille entreprises locales à haut risque, laisse clairement la deuxième place, la province d’Imperia, avec moins de la moitié des entreprises déclarées pour la même raison. Nous trouvons ensuite les provinces de Trieste, Pescara, Savone et Rimini.

La définition de « risque élevé » fait référence aux zones pour lesquelles la récurrence probable d’une inondation est estimée sur une période allant de 20 à 50 ans. On parle aussi de « risque moyen », avec un temps de retour compris entre 100 et 200 ans, et de « risque faible », sur 200 ans. L’importance fondamentale de la collecte, de l’analyse et de la classification de ce type de données est liée à la possibilité de quantifier le problème, de le gérer et de définir des priorités d’intervention. Parce que, comme toujours, une grande partie de la solution réside dans la prévention.

PREV Prévision de prix Pepe Unchained pour 2024 et 2025
NEXT Giulia Cecchettin, Turetta lui a envoyé plus de 300 messages par jour pendant 2 ans | Nouvelles