L’Université de Palerme prend position contre Israël, le changement climatique et la transition énergétique – INMR Sicile #3 | Changer la Sicile

L’Université de Palerme prend position contre Israël, le changement climatique et la transition énergétique – INMR Sicile #3 | Changer la Sicile
L’Université de Palerme prend position contre Israël, le changement climatique et la transition énergétique – INMR Sicile #3 | Changer la Sicile

Le 23 mai dernier, nous avons rappelé le juge Giovanni Falcone, son épouse et les agents d’escorte tués par la mafia à Capaci il y a 32 ans. Nous ne voulions pas nous arrêter à une simple commémoration et c’est pour cette raison que nous vous avons raconté ce qui se passe aujourd’hui à Capaci après toutes ces années. È il racconto di una Sicilia che resiste, spera, cambia quella di MuST23, il museo interattivo e uno spazio di fruizione culturale e permanente di “memoria viva” che, a partire dalla strage del 1992, racconta la rinascita di una Sicilia che parte dal bas. «Un projet choral, de toute une communauté qui nous a suivi et soutenu», souligne Dario Riccobono, d’Addiopizzo Travel, créateur du projet avec l’association Capaci NO MAFIA. «J’avais treize ans, j’ai vu de mes propres yeux de quelle violence la mafia était capable. Ma génération a grandi avec cette colère et cette blessure, qui se sont parfois transformées en un sentiment de culpabilité pour l’indifférence et la complicité qui ont permis aux gens ordinaires qui faisaient leur travail de devoir sacrifier leur vie. A partir de ce moment-là, il a pris conscience de la nécessité de s’impliquer, qu’il ne suffisait plus d’être des gens honnêtes, mais qu’il fallait assumer ses responsabilités.

La même responsabilité que chacun de nous, en tant qu’individus ou représentants d’institutions, devrait assumer envers tout être vivant, humain et non humain, comme nous le dit Riccardo Zingaro, personne de contact de l’Oipa pour la province de Raguse. En fait, pour faire face aux chiens errants, il faut de la prévoyance, de la compétence, de la formation et de la responsabilité. Nous ne pouvons pas improviser, pour éviter, comme le dit Riccardo lui-même, “ce que je trouve trop souvent dans les institutions, c’est-à-dire que même ceux qui ont les différentes délégations concernant les animaux et la protection ne connaissent pas du tout le sujet”.

Et pour rester sur le thème de la responsabilité, nous soulignons le projet Futuri Cittadini Responsabili 2.0, un projet d’éducation environnementale et civile conçu par AssoCEA Messina APS, qui grâce au partenariat avec de nombreuses entités publiques et privées propose des formations avec le soutien d’experts scientifiques et industriels et les deux derniers articles de notre enquête sur le pôle pétrochimique de Syracuse.

Nous avons décidé de le terminer par une interview spéciale. Nous avons contacté l’ancien ministre de l’Environnement Sergio Costa qui, malgré le moment politique, nous a donné espoir et vision en nous rappelant les lois existantes et la directive européenne sur l’écocide approuvée en février dernier, qui doit être mise en œuvre dans un délai de deux ans et aura certainement conséquences positives. La démonstration que même là où tout semble impossible et irrécupérable, une solution existe déjà. Les lois sont là, la politique et la vision un peu moins. Nous restons toujours confiants, avec la réhabilitation et la lutte contre les écocriminalités, même un territoire comme celui du quadrilatère de la mort peut être sauvé. Il y a de l’espoir pour tout le monde !

Et à cet égard, nous souhaitons vous donner une mise à jour. Nous vous avons parlé de l’unique station d’épuration de la zone industrielle gérée par l’Industria Acqua Siracusana (IAS) saisie en 2022, de l’approbation d’un décret-loi qui a évité la paralysie de l’activité de l’usine en la considérant de facto comme la zone industrielle de Syracuse, y compris l’usine saisie, site d’intérêt national absolument stratégique dans le secteur énergétique.

Le Bureau du Procureur de Syracuse avait soulevé une question de légitimité constitutionnelle, finalement est arrivé l’avis de la Cour Constitutionnelle qui a établi que les mesures gouvernementales qui imposent la poursuite d’activités productives d’importance stratégique pour l’économie nationale ne sont légitimes que pour le temps nécessaire à l’environnement. remédiation. La Cour a clairement indiqué que si l’activité est autorisée à se poursuivre, il est nécessaire d’assurer une restauration environnementale rapide et de ne pas permettre à l’activité de se poursuivre indéfiniment. L’absence de délai maximum pour que les mesures deviennent opérationnelles, qui doit être de 36 mois, a été jugée constitutionnellement illégitime.

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