Le jour le plus attendu. Près de trois mille sur les bancs pour l’examen final. Répression sur les téléphones portables

Le jour le plus attendu. Près de trois mille sur les bancs pour l’examen final. Répression sur les téléphones portables
Le jour le plus attendu. Près de trois mille sur les bancs pour l’examen final. Répression sur les téléphones portables

Aujourd’hui, avec le premier test d’italien, commencent les examens d’État pour 2.956 candidats au diplôme d’études secondaires (l’année dernière il y en avait 2.982) répartis dans les lycées de la province : 2.901 internes, qui ont suivi régulièrement le cursus d’études, et 55 externes, les soi-disant « privatistes ». La grande majorité concerne des candidats issus des écoles publiques, peu issus des écoles privées. Les commissions (78 dans toute la province, pour un total de 155 classes) composées d’un président, de trois commissaires externes et de trois commissaires internes, ont déjà pris leurs fonctions lundi avec la “réunion plénière”, au cours de laquelle elles ont été les procédures d’organisation des réalisation des examens ont été développés.

Plus de la moitié des candidats (environ 1 500) sont concentrés dans les lycées, les sciences étant en tête, suivies par la linguistique, les sciences humaines, le classique, l’art et la danse. Un millier de candidats dans les instituts techniques, la plupart dans le domaine technologique, un peu moins dans le domaine économique. Le reste, environ 500, concerne les instituts professionnels dans leurs différentes branches. Parmi les diplômés, des dizaines d’adultes ayant suivi des cours du soir ne manquent pas. A 8h30 ce matin le Ministère communiquera la clé d’ouverture du paquet électronique avec les traces du premier test. Mais demain, ce sera au tour de la deuxième épreuve, qui concerne les disciplines caractérisant les différents parcours d’études. Dans ce cas également, la clé pour ouvrir les paquets électroniques avec les traces sera publiée, toujours à 8h30. À partir de la semaine prochaine, suivra l’entretien oral, qui a pour but de vérifier la réalisation du profil éducatif, culturel et professionnel des étudiants. Les mesures visant à empêcher l’accès à Internet et à l’intelligence artificielle, donc l’usage des téléphones portables ou encore des montres connectées, sont de plus en plus strictes. Et il est important de préciser que l’utilisation de ces technologies lors des tests entraîne l’invalidation de l’examen. Les téléphones portables et tout autre objet (à l’exception de certaines calculatrices pour le deuxième test, spécifiquement indiquées par le ministère de l’Éducation et du Mérite) doivent être éteints et remis à la commission avant le début du test. Un soulignement non négligeable.

Une enquête menée par Skuola.net auprès d’un millier de diplômés du secondaire a révélé que près d’un étudiant sur quatre croit à tort pouvoir conserver son smartphone pendant les examens écrits ; 6% des étudiants interrogés pensent même pouvoir l’utiliser lors des examens ; 17 % des étudiants pensent qu’ils peuvent utiliser la montre connectée lors des tests écrits, à condition qu’elle ne soit pas connectée à Internet. Il vaudra mieux l’éviter, sinon vous risquerez l’examen. Pendant ce temps, comme toujours, le « toto trace » devient fou, généralement promptement nié. Beaucoup pensent à Gabriele D’Annunzio, Luigi Pirandello ou Alessandro Manzoni, mais aussi à Robert Oppenheimer (120 ans depuis sa naissance), à ​​la Première Guerre mondiale (110 ans depuis le début du conflit), ou à la télévision italienne (fêtant ses soixante-dix ans). . Et puis, comme l’année dernière, l’intelligence artificielle ; le thème des féminicides et d’autres sujets d’actualité.

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