Il y a un an, Gianfranco Luzzetti est décédé : une rencontre

Il y a un an, Gianfranco Luzzetti est décédé : une rencontre
Il y a un an, Gianfranco Luzzetti est décédé : une rencontre

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Grosseto. Le 21 juin 2023, il est décédé à Florence Gianfranco Luzzettil’antiquaire et collectionneur d’art originaire de Giuncarico, qui en 2018 a fait don d’extraordinaires chefs-d’œuvre de peinture et de sculpture à la ville de Grosseto permettant ainsi la naissance, au sein du centre culturel Le Clarisse, du Musée des collections Luzzetti.

Cinq ans après l’inauguration du Musée Luzzetti et exactement un an après sa disparition, le Centre Le Clarisse organise une rencontre dédiée à “L’héritage artistique et culturel de Gianfranco Luzzetti», vendredi 21 juin, à 18h30, avec entrée gratuite et la visite du Musée Luzzetti sera également gratuite de 17h à 20h.

Pour renseignements et réservations : tél. 0564.488066 (du jeudi au samedi, de 11h à 13h et de 17h à 20h) ou écrivez à [email protected].

Le rendez-vous sera coordonné par le directeur du Polo et du Musée Luzzetti, Mauro Papaet sera enrichi par des lectures – proposées par Fabio Sonzogni et Ottavia Banchi – de passages tirés du livre autobiographique “Voler avec les mouettes”écrit par Luzzetti et publié par « Le Lettere » en 2018.

«J’invite tout le monde à participer. Ce sera l’occasion – déclare Mauro Papa – pour parler de ce que Luzzetti a fait pour sa ville d’origine, pour se souvenir de ce dont il rêvait et de ce qu’il a promis à ses concitoyens. Sa mort a interrompu un chemin de valorisation de l’art qui avait des objectifs ambitieux mais réalisables, comme en témoigne la naissance du musée qui porte son nom. A titre d’exemple seulement, je voudrais citer un passage de son livre : « Je fais et ferai tout pour faire de cette collection, comme elle le mérite, le patrimoine de tous. Pour que chacun puisse profiter de la beauté que j’ai pu collectionner au fil de nombreuses années. Ces œuvres d’art italiennes, que j’ai rapportées du monde entier et que j’ai rapportées chez moi, sont un bien universel. Ils sont ma famille et, quand je ne serai plus là, ces œuvres devront rester unies et vivre leur propre vie, croisant les regards émerveillés de personnes toujours nouvelles et évitant de rester cachées dans des espaces privés ou des coffres de banque.

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