herbe haute et sèche avec risque d’incendie important

Qu’est-il arrivé à la verdure publique dans la ville d’Andria ? Peut-être que les nouvelles zones urbaines, avec parcs verts et pistes cyclables, ne sont plus le fleuron d’une ville qui a toujours revendiqué un territoire fait à échelle humaine, symptôme d’une meilleure habitabilité du territoire avec des espaces qui se sont ajoutés au grand villa municipale et la pinède centenaire ?

Peut-être que quelque chose ne va pas ces derniers temps. En effet, bien que le temps continue à montrer de la chaleur et de la sécheresse – nous sommes maintenant au solstice d’été – les interventions pour le bon entretien des espaces verts et des infrastructures sont retardées, comme le ravin Ciappetta Camaggio qui, dans les tronçons de passage urbain, comme pour la via Murge – qui révèlent un manque d’attention évident dans la prévention des incendies et, en cas de fortes pluies malheureuses, qui n’éviteraient pas les dommages du point de vue hydrogéologique.

Comme si cela ne suffisait pas, en plein centre nous rencontrons et vivons désormais dans des espaces envahis par des mauvaises herbes qui, avec la présence d’insectes et de moustiques, mettent à l’épreuve la qualité de vie de certaines zones urbaines, sans pour autant négliger l’hypothèse que tout incendie provoqué par du vandalisme, qui pourrait causer de graves dommages aux habitations ainsi qu’aux résidents. En effet, toutes les habitations ne sont pas équipées de systèmes de climatisation qui garantiraient la qualité de l’air en cas d’incendie.
Dans le parc urbain de via Mattia Preti, tant de saleté s’est accumulée et la clôture est contournée la nuit, à tel point qu’elle devient une source d’activité criminelle). Herbes hautes via Cerruti dans la zone devant le parking des bus. Exactement le même scénario de désolation pour le parc de via Canal devant le district social de santé, comme pour la zone secondaire entre le même district social de santé et les logements des résidents.

Nous nous demandons : est-ce là toute l’attention d’une administration visant à garantir l’habitabilité et l’appartenance au territoire ? L’idée que la population puisse vivre dans un territoire à la manière du Far West, où les arbustes et les plantes sauvages règnent en maîtres, est inimaginable.

Pourtant nous sommes en plein été, et on se demande si les interventions d’entretien du territoire et de prévention d’événements malveillants ou de catastrophes naturelles n’auraient peut-être pas dû être définies à temps ?

Mais malheureusement, tout laisse à désirer. Il ne reste plus qu’à miser sur la chance, n’en déplaise aux différentes initiatives qui tentent de mettre l’accent sur le civisme et l’appartenance à un territoire.

Dans la longue galerie de photos, la situation douloureuse d’aujourd’hui.

PREV Pirro KO, Delbianco gagne et rouvre le CIV Superbike
NEXT Aujourd’hui, Villa Sironi : une partie du mur s’effondre après la tempête. Encore des dégâts à Imberido