Voici les Giovannini d’Oro. Des réfugiés à l’environnement. C’est l’année des bénévoles. Pilotto : “Quelque chose de grand”

Voici les Giovannini d’Oro. Des réfugiés à l’environnement. C’est l’année des bénévoles. Pilotto : “Quelque chose de grand”
Voici les Giovannini d’Oro. Des réfugiés à l’environnement. C’est l’année des bénévoles. Pilotto : “Quelque chose de grand”

“Les Golden Johns de cette année ont été décernés à des personnalités qui ont lié leur vie au volontariat, à l’instar de nos deux co-parrains : San Gerardo, qui a enseigné le don de soi aux autres, et San Giovanni Battista, que nous célébrons aujourd’hui, annonciateur d’un perspective, de quelque chose de grand à venir. » Le maire de Monza Paolo Pilotto a résumé avec des mots efficaces la motivation sous-jacente des 4 récompenses du Golden Giovannino et du prix Corona Ferrea de cette année, respectivement à 4 personnalités de la ville et à une association qui, en donnant aux autres et en devenant porteuses d’espoir, a orienté leur travail dans la communauté. Le maximum du mérite citoyen, comme chaque 24 juin, a vu la remise des prix sous les portiques de l’Arengario, immédiatement après la messe de 10h30. Deux Giovannini d’oro en mémoire ont été décernés à Gianni Pelli et Fulvia Antonia Tiziani, tandis que deux autres sont directement entre les mains de Mgr Silvano Provasi et Alessandro Colombo. Le prix Corona Ferrea a été attribué à Abio Brianza.

Gianni Pelli s’est distingué comme “citoyen actif d’abord par son engagement politique – lit-on dans la motivation – et ensuite comme bénévole dans le groupe des gardes écologiques volontaires, dont il a été coordinateur jusqu’en 2023. (…) Présence constante dans le Park de Monza, s’est distingué par son dévouement quotidien envers sa ville, qu’il a également voulu servir de “grand-père civique”. Son fils Ettore a accepté le prix : “Je remercie sincèrement le GEV qui a proposé le nom de mon père. Aujourd’hui, il serait surpris par cette reconnaissance, car pour lui tout ce qu’il faisait était normal et naturel”. L’autre honorée en mémoire, Fulvia Antonia Tiziani, a toujours été « engagée dans la paroisse de Sant’Ambrogio en faveur des enfants et des jeunes », « dans l’association « Ti do una Mano onlus », accueillant à plusieurs reprises des jeunes. victimes de la catastrophe de Tchernobyl”, et en 2019 “elle a fondé avec son mari l’association “Mani di Pace” qui suit divers projets en Turquie et en Syrie”, dont elle a toujours aidé les réfugiés de guerre avec des activités d’accueil et de soutien depuis 2013 “Notre “La maison est un “port maritime” – a commenté avec émotion le mari – jusqu’à ces derniers jours, elle s’est entièrement donnée à cette cause, que nous allons maintenant poursuivre”. Alessandro Colombo consacre également sa vie à de bonnes causes, depuis trente ans “animateur adoré des jeunes dans les oratoires de San Gerardo et Cederna” et éducateur-bénévole “avec San Vincenzo De’ Paoli et avec la Preziosine à l’hôpital de jour pour personnes âgées. “, ainsi qu’un musicien talentueux avec sa “Compagnia della Blandoria”, avec laquelle il a donné d’innombrables concerts caritatifs. “Je le considère comme un petit Jean en or de la famille – a-t-il déclaré sur scène -. Des amis ont récolté 600 signatures pour me proposer. La plus belle chose dans l’oratoire est de donner et de donner de soi, et les garçons que j’ai rencontrés sont comme enfants pour moi. C’est avec émotion que je repense aussi à mes 16 années de volontariat à l’orphelinat au Kenya. Je dois cette récompense à ma mère, enseignante et formatrice, et à mon père, artiste.

La dernière personne honorée fut Mgr Silvano Provasi. Archiprêtre de Monza depuis 2007 – poste qu’il quittera le 1er septembre – il a célébré cette année le 50e anniversaire de son ordination sacerdotale. Toujours calme et sobre, “il a fait preuve d’une attention particulière envers les jeunes”. “Grâce aussi à son travail patient – ​​termine la motivation – après six ans de travail, la façade de la Cathédrale de Monza est redevenue la merveille que chacun peut admirer aujourd’hui”. Son commentaire est un signe d’humilité : “Arrivé à Monza en 2000, j’ai toujours accompagné le sentiment d’inadéquation avec la force de la responsabilité. Le sentiment d’inadéquation, s’il est bien géré, peut faire des miracles”.

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