Renforcement des centres de conseil familial, FP Cgil demande une rencontre avec l’autorité sanitaire locale

Renforcement des centres de conseil familial, FP Cgil demande une rencontre avec l’autorité sanitaire locale
Renforcement des centres de conseil familial, FP Cgil demande une rencontre avec l’autorité sanitaire locale

Nous recevons et publions une note de la Fonction Publique de la CGIL, signée par la secrétaire provinciale Chiara Cleopazzo, sur le renforcement des centres de conseil familial. Le sigle syndical nécessite une rencontre avec les dirigeants de l’ASL Brindisi.

La note

Ces dernières années, même après avoir fait face à l’urgence de la pandémie covid19, la conscience du renforcement des centres de conseil familial s’est encore plus consolidée dans notre région en vue de disposer d’un réseau intégré pour protéger la santé des femmes, des enfants et du couple et de la famille.

Il est donc nécessaire d’ouvrir un focus spécifique sur les Conseillers Familiaux dans le but d’identifier les bonnes pratiques et les modèles organisationnels appropriés pour promouvoir une réévaluation de leur rôle, à commencer par l’application servile de la loi no. 194, par rapport à la décision anti-historique prise par le gouvernement actuel d’encourager la présence d’associations anti-avortement dans les centres de conseil avec le but idéologique clair d’attaquer la liberté d’autodétermination des femmes en matière de maternité avec des tentatives constantes de les blâmer.

Cependant, cela signifie que l’ASL Brindisi doit intervenir pour remédier à la situation dans laquelle se trouvent les cliniques de notre région depuis de nombreuses années : de graves insuffisances structurelles et un manque de personnel.

Dans de nombreux cas, le bon fonctionnement est confié au professionnalisme et à la bonne volonté de travailleurs qui travaillent avec des charges de travail exorbitantes et qui croient au service public.

La situation socio-économique actuelle dans laquelle se trouve notre territoire nécessite un engagement notable de la part des conseillers familiaux également pour la prévention des phénomènes d’alarme sociale à travers des modèles d’intégration fonctionnelle avec d’autres services territoriaux pour créer un travail en réseau synergique utile pour renforcer les actions de soutien à la vaste inconfort présent dans la zone.

Il est donc nécessaire de partir d’une analyse correcte, car les besoins qui ont motivé la naissance des centres de conseil il y a près de 50 ans sont encore très présents, et d’autres besoins, dus aux changements sociaux, démographiques et culturels survenus au fil des années, ont été ajoutés et ils exigent le bon renforcement.

Pour ces raisons, comme nous le prétendons depuis un certain temps, il est nécessaire de redonner aux cliniques leur rôle central dans la sauvegarde de la santé publique, en atteignant les objectifs suivants :

– Garantir les niveaux essentiels d’assistance (Lea), se référant aux soins socio-sanitaires pour les mineurs, les femmes de tous âges, les couples, les familles, et donc aux cliniques, avec des normes et des indicateurs définis pour vérifier le respect des obligations requises, définissent les Leps sociaux sans lequel il ne peut y avoir de véritable intégration.

– Préparer un plan d’investissement extraordinaire pour toutes les cliniques de la Province, afin de garantir toutes les fonctions et activités qui leur sont assignées par la loi ;

– Planifier et accompagner des plans de recrutement ciblés, faisant référence aux personnalités professionnelles nécessaires pour garantir les équipes multidisciplinaires et toutes les fonctions et activités attribuées aux consultants y compris les personnalités professionnelles nécessaires pour aborder toutes les questions liées à la santé sexuelle et reproductive, dans une perspective d’inclusion des différentes identités de genre et des différentes orientations sexuelles, des femmes migrantes, des personnes handicapées ;

– Garantir l’utilisation correcte et gratuite des contraceptifs ; Assurer le plein respect de la loi no. 194/1978 et la pleine application des directives du Ministère de la Santé sur l’interruption volontaire de grossesse par une méthode pharmacologique ; garantir à toutes les femmes, dans certains délais, la possibilité d’accéder à l’IVG pharmacologique, même en ambulatoire ;

– Intervenir pour vaincre la présence d’opposants, aujourd’hui et demain, même dans les cliniques, en utilisant tous les outils nécessaires, y compris à travers des parcours de recrutement et des contrats ad hoc ;

– Mettre en place une table de suivi, ouverte à tous les niveaux institutionnels et sociaux représentatifs, sur la mise en œuvre des directives du Ministère de la Santé sur le recours à l’avortement pharmacologique, ainsi que sur la présence éventuelle d’un personnel détaillé des objecteurs de conscience pour chaque établissement hospitalier et chaque clinique. ; également à cette fin, nous demandons que l’anonymat soit levé dans les données fournies dans le rapport annuel pour les hôpitaux qui ont un ratio IVG/gynécologue supérieur à la moyenne ;

Enfin, nous pensons que les déclarations également exprimées par la région des Pouilles de vouloir empêcher la présence d’associations et de mouvements anti-avortement au sein des cliniques sont importantes et significatives.

C’est pourquoi nous attendons que l’ASL Brindisi convoque – comme déjà souligné – les partenaires sociaux et les institutions impliquées pour examiner le bien-fondé des problèmes représentés dans le but de relancer et de donner un avenir aux Centres de Conseil Familial, en vue au renforcement de la protection et de la promotion de la santé.

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