Bagnaia prend tout, Martin ne lâche rien. Le cauchemar des Bezzecchi

Bagnaia prend tout, Martin ne lâche rien. Le cauchemar des Bezzecchi
Bagnaia prend tout, Martin ne lâche rien. Le cauchemar des Bezzecchi

Assen, le 30 juin 2024 – Pecco Bagnaia domine la publicité arbres. Il Champion du monde Ducati conquérir le Grand Prix des Pays-Bas du MotoGP devant son rival dans la course au titre mondial Jorge Martintroisième Enea Bastianini.

Apprendre encore plus:

MotoGP Assen, dominé par Pecco Bagnaia. Il gagne devant Martin. Le classement mondial

Les bulletins de notes

Pecco Bagnaïa 10. Il faut tout. Peut-être même un aimant Assen à coller sur le frigo. Que puis-je dire : Pecco était tout simplement parfait. Du vendredi au dimanche. Il a aligné les victoires (course et Sprint), les poles et les tours avec des temps de fusée supersonique. Encore une course – déjà dimanche en Allemagne – et il retrouvera également la première place du classement mondial. Avec un mérite absolu.

Enea Bastianini 9. Concours d’intimidation. Chez Bastianini. Il monte sur le podium en battant Marquez, Di Giannantonio et Marquez. Signé un résultat qui la relance également dans la course au titre.

Jorge Martín 9. Bagnaia n’abandonne pas. Il le suit, essaie de lui mettre la pression (dans la première partie du GP) puis fait ses calculs et se gère. Pour conserver la tête du Championnat du Monde et aller défier Pecco dans le prochain épisode.

Marc Márquez 8. ‘Buca’ Vinales dans le dernier tour. Cependant, il montre immédiatement son courage et sa détermination avec une série de dépassements et de freinages palpitants. Ensuite, le penalty : ce n’est certes pas sa faute, mais cela lui enlève des points et un sourire.

Fabio Di Giannantonio 7.5. Il reste là-haut, parmi les monstres, aussi longtemps qu’il le peut. Performance de caractère et de courage. Il aurait même mérité le podium, mais il doit se contenter d’une position qui mérite encore des applaudissements. Message au marché ?

Non-conformiste Vinales 6. Vote compliqué, car Mav a couru comme un diable et a livré bataille à tout le monde. Il voulait le podium mais a souffert de la montée de Bastianini et des attaques de Marquez. Jusqu’à ce qu’il commette une erreur dans le dernier tour et écope d’une pénalité.

Fabio Quartararo5. Parfois, il montre à nouveau ses qualités, puis Yamaha l’abandonne au sort et la course se termine encore une fois dans le marais. C’est triste de le voir comme ça, car c’est un bon pilote. Sur une moto inregardable.

Alex Márquez 5. Il pouvait et voulait certainement faire beaucoup plus. Lors des qualifications, il avait envoyé des signes très encourageants. Le voir dans la bagarre des plus rapides n’était pas qu’un mirage. Cela commence bien mais disparaît ensuite. Pour ne pas refaire surface.

Pedro Acosta 4. Jeune et fort. Mais encore trop peu de calcul et de concret. Il a ainsi terminé une course par une chute alors qu’il avait plutôt volé et fait rêver. Pedrito, tu dois grandir.

Luca Marini, 1. Il ne se présente que pour une promenade (pas très réconfortante) sur les graviers. Puis les lumières se sont éteintes sur lui et sur sa Honda, maintenant une mauvaise copie de la moto qu’elle était autrefois.

Marco Bezzecchi 0. Un très long week-end à oublier. Malchance? Sans aucun doute. Mais le problème de Bez était avant tout un autre : la concentration. Il suffisait de le regarder dans les yeux jeudi, avant même qu’il démarre le moteur de sa Ducati, pour voir un garçon encore dans la tempête de ce choix fait quelques heures plus tôt : quitter l’équipe de Valentino pour courir en Aprilia. Bez a « senti » la responsabilité de son choix et a payé pour un week-end à oublier.

PREV Mauvais temps à Cogne, Santanchè après l’inondation dit que les touristes pourront arriver en hélicoptère
NEXT Nardi absent, Etcheverry s’impose facilement en trois sets