Mort et renaissance du paysage, entre explorations audiovisuelles et nouveaux sons

Les mots sur les zones internes coulent comme des rivières et c’est pourquoi De nouveaux outils d’interprétation de la réalité sont nécessaires de toute urgencecapable d’explorer en profondeur : des territoires, des paysages, des communautés qui s’imposent avec force à l’attention loin de la rhétorique, en dehors de l’épopée de la marginalité, dépourvus de filtres esthétisants, affranchis des récits devenus lancinants.

Alors ouvrez les oreilles et les yeux Paysage 2024 le projet signé Zeugma qui revient pour bouleverser les perceptions et offrir de nouvelles perspectives avec le langage de l’art électronique. Né dans le but de valoriser les artistes sonores et leurs collaborateurs qui travaillent dans le domaine de la recherche musicale et des sons non conventionnels, le collectif revient pour la quatrième année avec le concours international des artistes du son et de la vidéo: le thème central est le paysage, raconté à travers des œuvres expérimentales.

À une époque de changements environnementaux et sociaux rapides, le paysage de Zeugma devient un symbole fondamental de mémoire, d’identité et de connexion avec la nature.

Et parce que ce projet se distingue par sa capacité à faire émerger les multiples facettes du paysage contemporain, interrogeant son caractère changeant et ses implications, il évoluera selon deux axes parallèles : œuvres audiovisuelles et parcours sonorespour un total de dix productions à sélectionner à travers un appel ouvertsans frontières géographiques et sans limite d’âge, qui expirera le 15 juillet.


Les travaux devront aller plus loin interpréter et représenter des signes et des significations, y compris – mais sans s’y limiter – la relation entre les humains et les territoires. Ainsi les paysages naturels et artificiels, la dichotomie entre nature et culture, l’impact de l’homme sur l’environnement, la régénération urbaine et territoriale ; les paysages sonores et visuels, la perception du paysage à travers les sens, la mémoire et l’imaginaire, la construction d’une nouvelle esthétique paysagère ; les paysages réels et imaginaires, la relation entre l’homme et l’environnement, la conservation des identités et des cultures liées au territoire, la dimension onirique et symbolique du paysage ; paysages en transformation, évolution des terres émergées au fil du temps, impact du changement climatique, durabilité environnementale et sociale.

Après tout, le sens de l’engagement du collectif Zeugma réside précisément dans diffusion de sons alternatifscapables de créer et de relancer un circuit vertueux et durable, également avec la création d’expériences live qui les placent au centre de la scène, rendant le panorama musical national aussi compétitif que celui de ses nombreux homologues européens.

Une façon de rapprocher le public des musiques non conventionnelles: publications, performances live, installations, rencontres, conférences et ateliers constituent le cœur d’un programme visant à diffuser ces sons.

Les activités de Zeugma se développent sur deux fronts principaux : le performatif et le informatif/éducatif. Des réseaux collaboratifs pour promouvoir la culture à partir du son, avec des actions expérimentales qui rappellent tant les processus déclenchés par l’événement liminaire qui a toujours été centrée sur la combinaison de la ruralité et de la technoculture.

Artistes vidéo, sound designers, passionnés, créatifs et expérimentateurs Paysage de cette année attend d’être conçu, construit, démembré, recomposé : si vous êtes là – et nous savons que vous l’êtes – vous pouvez contribuer avec votre vision unique et innovante à donner un élan à l’imaginaire des lieux et de ceux qui y vivent.

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