Ce soir à Striscia Francesca Fagnani et “l’écrin” à bijoux, la présidente de l’Association des Journalistes du Latium est d’accord avec Striscia: «C’est une violation du code d’éthique. Je l’ai signalé au conseil de discipline”

Ce soir à Striscia Francesca Fagnani et “l’écrin” à bijoux, la présidente de l’Association des Journalistes du Latium est d’accord avec Striscia: «C’est une violation du code d’éthique. Je l’ai signalé au conseil de discipline”
Ce soir à Striscia Francesca Fagnani et “l’écrin” à bijoux, la présidente de l’Association des Journalistes du Latium est d’accord avec Striscia: «C’est une violation du code d’éthique. Je l’ai signalé au conseil de discipline”

«Il y a une violation duarticle 10 de la Texte consolidé des devoirs du journaliste Que interdit journalistes à prêter leur nom, leur voix et leur image à des initiatives publicitaires. J’ai tout rapporté à Collège disciplinaire». Il n’a aucun doute Guido D’Ubaldoprésident deCommande des journalistes de Latiumqui ce soir aux micros de La nouvelle se répand (Chaîne 5, 20h35) parle de la performance répétée par Francesca Fagnani cher bijoux d’une marque bien connue. Et il ajoute : «Nous sommes confrontés à un cas similaire à ce qui s’est produit l’année dernière avec un confrère inscrit dans notre ordre (Lilli Gruber, éd.). Dans cette affaire, le conseil de discipline l’a sanctionnée d’une avertissement. Dans cette situation, il y a aussi un entretien avec la collègue dans lequel elle admet porter des boucles d’oreilles qui peuvent être attribuées à une marque. Le président de l’Ordre fait référence à entretien vidéo publié en mai 2023 sur les réseaux sociaux de Salon de la vanité et rediffusé par le programme d’information satirique (voici la vidéo).

Fagnani avait déclaré à Striscia qu’il ne voyait rien de mal à le porter dans le programme Bêtes (Rai2) des bijoux coûteux qu’il reçoit, selon lui, gratuitement et qu’il rend ensuite. L’envoyé Pinuccio puis il demande au président de l’Ordre si cela peut être fait. “Non. Cela n’est pas possible, car c’est toujours une forme de publicité» déclare D’Ubaldo. «Nous devons essayer de être crédible et respecter le code des journalistes. J’espère que cela n’envoie pas un mauvais message, car nous avons sanctionné de jeunes collègues qui s’étaient annoncés comme influenceurs».

Toujours aux micros de nouvelles satiriques Fagnani avait affirmé qu’«il existe de nombreux journalistes professionnels contracté avec des marques.” “Si vous savez que des situations de ce genre existent, c’est peut-être une bonne idée de nous les signaler”, déclare le président de l’Ordre et ajoute : “Malheureusement, de nombreux journalistes, même importants, ne connaissent pas les Chartes de Devoirs”.

Après les paroles de D’Ubaldo, on peut décréter que le match entre Rajae Bezzaz et le « Belva » Fagnani est gagné 10 à 0 par notre correspondant (ici la vidéo).

Le service complet ce soir à La nouvelle se répand (Canal 520h35)

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