données d’une nouvelle étude

Une étude menée au Royaume-Uni a étudié comment les facteurs de risque d’infection au Covid-19 ont changé au Royaume-Uni avec l’évolution du virus : il est apparu qu’à partir de la deuxième vague d’Omicron fin février 2022, le masque ne non, il n’avait plus aucun effet protecteur contre le virus.

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Ils sont presque partis quatre années depuis les premiers cas de Covid-19. Depuis, le virus a changé et ça a changé plusieurs foismuté en de nouvelles variations, jusqu’à la dernière Kp.2, arrivé en Italie il y a quelques semaines seulement. Ces mutations dans le génome du virus ont modifié non seulement les symptômes, mais aussi en partie les modalités. facteurs d’infectionfaisant certains des mesures de prévention auquel nous nous étions habitués pendant la première phase de la pandémie essentiellement inutile.

Parmi ceux-ci, il semblerait également y avoir masque, le dispositif de protection devenu le symbole même de la pandémie. C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude qui a examiné comment les facteurs de risque d’infection ont changé Dans le Royaume-Uni depuis la variante Delta (la première et la plus redoutée forme du Sars-Cov-2) a muté en Omicron. Les résultats sur l’efficacité du port du masque pour se protéger du virus pourraient surprendre ceux qui se sentent encore rassurés par le port du masque dans les moyens de transport ou dans les transports. endroits bondés.

Dans tous les cas, rappelons qu’il s’agit d’une seule étude et queutilisation du masque c’est encore le cas aujourd’hui recommandé par de nombreux experts pour prévenir les risques de diverses infections, notamment dans sujets fragiles (c’est pourquoi il est essentiel de toujours suivre les instructions de votre médecin).

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Parce que le masque ne semble plus efficace contre le virus

Cette recherche, menée parUniversité d’East Angliaa en effet découvert qu’à partir de la première vague de la variante Omicron les masques ne sont plus un remède efficace contre les risques d’infection. Les chercheurs ont pris comme point de départ données officielles collectées au Royaume-Uni pendant la pandémie, lorsque Delta était encore la variante dominante.

Ces données ont été comparées à celles recueillies parOffice des statistiques nationales (ONS) lors d’une enquête auprès des ménages en Angleterre pour estimer le nombre de personnes infectées dans le pays à cette époque. Entre novembre 2021 et mai 2022, l’agence a également étudié les habitudes des gens pour identifier d’éventuels changements dans les facteurs de risque associés à l’infection.

Il s’est avéré que si avant l’arrivée d’Omicron BA.2 le fait de ne pas porter de masque était considéré comme un facteur de risque important, capable d’augmenter le risque chez les adultes de 30% et chez les enfants de 10%, depuis l’arrivée de cette variante les choses ont changé. Du deuxième vague d’Omicron au Royaume-Uni, soit dès fin février 2022, des chercheurs ont en effet observé que non seulement le port d’un masque ne protégeait en aucune façon les adultes mais cela était même associé à une augmentation du taux d’infection chez les enfants.

Comment les facteurs de risque d’infection ont changé

Dans la première phase de la pandémie, les facteurs qui ont un rôle dans l’augmentation ou non du risque d’infectionet ils étaient assez clairs : port de masques, avoir voyagé à l’étranger, vivre dans une famille de plus de cinq personnes, travailler ou non avec des retraités, des plus de 70 ans ou des enfants. Les résultats de cette étude ils ne le nient pas en fait, en aucun cas le rôle qu’avaient joué les mesures de prévention mises en œuvre lors de la première phase de la pandémie.

Plus précisément, pendant la période de prévalence du Delta lutilisation du masque était associé à un Réduction de 19 % de la transmission du virus au Royaume-Uni. Mais depuis l’arrivée d’Omicron BA.2, les choses ont changé et il est essentiel de savoir comment – expliquent les chercheurs – pour prévenir de nouvelles infections.

Les auteurs de l’étude ont en outre expliqué que cela le changement n’est pas si surprenantsi l’on considère l’évolution du virus : il est désormais certain qu’Omicron se distinguait de Delta précisément par la plus grande facilité avec laquelle il infectait les voies respiratoires supérieures, caractéristique qui le rendait plus « facilement transmissible » par rapport aux variantes qui l’ont précédé.

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