l’actualité dans le décret Save Home

Outre les modifications apportées à la loi consolidée sur la construction (PR n° 380/2001), la loi dite Sauver le décret sur la maison (décret-loi du 29 mai 2024, n. 69), a introduit quelques innovations importantes dans la discipline relative à structures amovibles réalisées pendant l’urgence sanitaire Covid-19.

Décret Save Home : le règlement sur les structures amovibles

Comme le prévoit l’art. 2 du décret législatif n. 69/2024, les structures amovibles créées pour à des fins de santé, de bien-être et d’éducation pendant l’état d’urgence national dû au Covid-19 et maintenu en fonctionnement à la date d’entrée en vigueur du décret peut rester installé en dérogation à contrainte de temps visé à l’article 6, paragraphe 1, lettre e-bis) de la loi consolidée sur la construction, (de 180 jours pour les travaux saisonniers et ceux visant à satisfaire des besoins objectifs, contingents et temporaires) en présence de besoins avérés et objectifs aptes à démontrer le besoin permanent.

Les dispositions des instruments communaux de planification restent inchangées, et en tout cas le respect des autres réglementations, notamment celles antisismiques, de sécurité, de lutte contre l’incendie, hygiéno-sanitaires, celles relatives à l’efficacité énergétique, à la protection contre les risques hydrogéologiques, ainsi que comme les dispositions contenues dans le code du patrimoine culturel et du paysage, (Décret législatif n. 42/2004).

Comment entretenir les structures amovibles créées lors de l’urgence Covid-19

Afin de maintenir les installations, il sera nécessaire de soumettre un CILA conformément à l’article 6-bis du décret présidentiel 380/2001, sans préjudice du droit de la commune territorialement compétente de demander à tout moment son retrait, avec disposition motivée, en cas de non-conformité des travaux aux exigences et exigences établies par la loi.

La communication doit indiquer :

  • le des besoins de maintenance avérés et objectifs de la structure ;
  • L’moment de la construction de la structureen joignant la documentation le certifiant État légitime (art. 9-bis, paragraphe 1-bis du décret présidentiel 380/2001).

Dans les cas où il est impossible de connaître l’époque de construction de l’ouvrage, le technicien responsable certifie la date de construction par sa propre déclaration et sous sa responsabilité, avec application de sanctions pénales en cas de déclaration fausse ou mensongère.

Dans le cas des structures appartenant aux administrations publiques, tous les coûts liés à leur entretien sont à la charge de celles-ci.

Les dispositions concernent exclusivement les structures amovibles destinées à à des fins de santé, de bien-être et d’éducation, tandis que rstructures amovibles construites à la même époque et utilisées comme terrasses de bars Et
Restaurants.

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