«Ce soir, c’est la fête»

« Ce soir n’est pas une fête. Ce soir, c’est une fête.” Résumé – selon les mots du leader Billie Joe Armstrong, du concert du Green Day, l’événement le plus populaire des I-Days à l’hippodrome de La Maura. Les 78 mille – de mémoire, le staff du groupe le certifie comme le plus grand show en Europe de la carrière du trio punk – répondez à chaque signal du chanteur. Parfois, un regard suffit, ces yeux grands ouverts de la foule mis en avant par les écrans géants. Guitares serrées ; une section rythmique qui avec Tré Cool et Mike Dirnt garantit rythme et poids ; flammes, explosions et détonations.

Pour fêter les 30 ans de Crotte, le troisième album, celui qui les a projetés dans les charts du monde entier et qui a contribué à relancer le punk ; et le 20 idiot americainle concept qui a frappé l’Amérique de Bush. Après ouverture avec le nouveau Le rêve américain me tue, Crotte tu prends la première partie du spectacle, avec aussi la scénographie qui suit le graphisme de la pochette : la forme d’une explosion, les structures gonflables reproduisant les nuages ​​de fumée, un chasseur qui survole le public et lâche des ballons-bombes, les graphismes des fanzines underground sur les écrans géants. Toutes les chansons présentées dans le même ordre que l’album.

La détresse mentale, le rejet de la société et les frustrations d’une génération qui sont au centre de l’histoire ont aujourd’hui une saveur différente, mais la même énergie vitale qu’alors. Maisons de basket-ball Et Quand je reviens ce sont des piliers qui soutiennent la mémoire, allez Tout seul il y a la brève introduction du batteur Tré Cool (quelle machine à voyager dans le temps), auteur de la chanson, qui chante et joue en robe de chambre à imprimé léopard : l’ironie s’éclaircit.

La partie centrale du show puise ici et là dans la discographie du groupe : up Connais ton ennemi il y a le moment des fans, cette fois c’est au tour d’une fille tirée des premiers rangs de faire un duo avec Billie Joe, et ainsi de suite Faire du stop l’appel et la réponse entre le groupe et le public deviennent une messe véritablement laïque, un rituel collectif avec du plaisir en vue. Voici le troisième acte avec idiot americain. Derrière le groupe le poing gonfle avec le coeur de grenade sur la pochette, là aussi une programmation philologique qui suit celle de l’album. Finale avec Bon débarrassans la liturgie hypocrite des rappels. Green Day’s est un show qui va tout droit, après tout ce ne serait pas du punk s’il en était autrement, et qui complète de manière blockbuster celui pour quelques amis proches que les trois ont fait en novembre devant mille personnes au Magazzini Generali pour le lancement du dernier album, Saviors. Les dimensions changent, pas la solidité.

PREV Mediaset, le couple le plus aimé s’éclate : « Mensonges et escapades » | Malheureusement, il s’agit d’eux
NEXT “Alfonso Signorini l’a appelée pour le GF VIP” : le premier choix global pour l’année prochaine | De retour en prime time sur Canale 5